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King's Quest IV : The Perils of Rosella
Série
Date de sortie
1988 (
)

Genre
Développement
Édition
Ré-édition budget
Systèmes

Dosbox
Compatible avec la version 0.65
[Avis] Une autre époque...
par elandryl
Que voilà un jeu difficile.
Si la saga King's Quest a eu le mérite de poser les bases du point & click, et du jeu "cinématique" pour reprendre le terme de Delphine Software, elle a du réussir à dégouter presque autant de joueur qu'elle en a attiré.
A une époque où l'on ne pouvait profiter ni des superbes graphismes en 256 couleurs, ni de la très pratique interface à la souris, il fallait donc se frotter à ce très difficile épisode, en temps limité, avec gestion du jour et de la nuit, et actions par ligne de commande. Quand je dis "gestion du jour et de la nuit", souvenez-vous que le jeu ne dure que 24 heures: La tombée de la nuit sera surtout l'occasion pour vous de recommencer votre partie depuis le début si vous n'avez pas réussi dans le laps de temps à trouver un moyen pour repousser les morts-vivants... hé oui. Vous ne rêvez pas, vous pouvez toujours perdre des heures de progression si vous avez manqué un objet important ou, plus fourbe encore, si vous n'êtes pas allé assez vite. Avouez que c'est fourbe!
Dans le même ordre d'idées, vous aviez certainement oublié cette époque magique où l'on pouvait mourir dans un jeu d'aventure en montant un escalier. Bingo, à vous le plaisir de passer un bon quart d'heure à guider votre héroïne pixel par pixel pour arriver au sommet d'un escalier en spirale... avant de redescendre parce que vous avez réalisé qu'il vous manque un objet. Que du bonheur!
Comme les trois premiers épisodes de la saga, King's Quest IV est très certainement à réserver aux nostalgiques patients et aux masochistes assumés, bilingues dans les deux cas. Ne venez pas dire que vous n'étiez pas prévenus!
Si la saga King's Quest a eu le mérite de poser les bases du point & click, et du jeu "cinématique" pour reprendre le terme de Delphine Software, elle a du réussir à dégouter presque autant de joueur qu'elle en a attiré.
A une époque où l'on ne pouvait profiter ni des superbes graphismes en 256 couleurs, ni de la très pratique interface à la souris, il fallait donc se frotter à ce très difficile épisode, en temps limité, avec gestion du jour et de la nuit, et actions par ligne de commande. Quand je dis "gestion du jour et de la nuit", souvenez-vous que le jeu ne dure que 24 heures: La tombée de la nuit sera surtout l'occasion pour vous de recommencer votre partie depuis le début si vous n'avez pas réussi dans le laps de temps à trouver un moyen pour repousser les morts-vivants... hé oui. Vous ne rêvez pas, vous pouvez toujours perdre des heures de progression si vous avez manqué un objet important ou, plus fourbe encore, si vous n'êtes pas allé assez vite. Avouez que c'est fourbe!
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Comme les trois premiers épisodes de la saga, King's Quest IV est très certainement à réserver aux nostalgiques patients et aux masochistes assumés, bilingues dans les deux cas. Ne venez pas dire que vous n'étiez pas prévenus!
















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