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Assassin's Creed
Ce test a été écrit par BrOthErHooD.
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La première fois que j'ai vu le jeu, j'ai accroché. Comme tout le monde. Je me suis dit que la re-création du Moyen-Orient à l'époque des croisades était franchement original et rarement utilisé par les développeurs. Comme tout le monde. A ce moment-là, j'ai vu les premiers screenshots et j'ai été ébahi. Comme tout le monde. Et puis j'ai acheté le jeu et l'ai placé dans ma XboX. Comme beaucoup de monde. Après quelques heures de jeu, j'ai commencé à regretter mon achat. Comme beaucoup de monde.
Assassin's Creed est la quintessence du jeu vidéo moderne, pour le pire et le meilleur à la fois. Je m'explique.
Doté de graphismes somptueux, d'un univers inégalable et de possibilités scénaristiques proprement hallucinantes, Assassin's Creed est pourtant un jeu fondamentalement mollasson et tape-à-l'oeil.
Mollasson, tout d'abord, parce que notre petit assassin ne sait finalement pas faire grand chose d'autre à part s'asseoir sur un banc, faire du cheval, zigouiller deux ou trois gardes et partir en courant. On est très loin des promesses d'Ubisoft en la matière qui, rappelons-le, avait clamé haut et fort qu'Assassin's Creed serait un espèce de GTA médiéval. GTA peut-être, mais sans doute plus GTA 1 et 2 que GTA San Andreas ou GTA IV.
Parce que l'on s'ennuie ferme dans ce jeu ! Les infiltrations sont franchement des scènes redondantes, éminemment scriptées et, comble du vice, trop faciles. Vous ratez l'objectif et vous vous faites repérer ? Vous avez peur ? Que nenni. Vous prenez votre chtite épée, massacrez les deux-trois péons qui traînent, vous vous cachez dans une botte de foin et attendez de pouvoir recommencer.
Bon, ok, je suis partial : GTA repose grosso modo sur les mêmes rouages de jeu et ce genre d'écueil n'est pas vraiment gênant en soi. Il le devient pourtant quand l'IA du jeu ne parvient pas à rattraper le coup (et pourtant, GTA n'est pas une référence en la matière, loin s'en faut).
Pour faire court : l'IA d'Assassin's Creed est à peu près comparable à celle d'un grille-pain. Un grille-pain bas de gamme. Genre 5 euros à la Foir'Fouille.
Pour peu que vous ne vous comportiez pas EXACTEMENT comme l'avaient prévu les développeurs, vous pouvez faire à peu près n'importe quoi dans le jeu. Je ne plaisante pas : il est possible, par exemple, de zigouiller toute une colonne de gardes marchant en file indienne en vous y prenant un par un et en commençant par le dernier, genre "Petit Poucet assassin"... Pathétique.
Ensuite, le jeu est un immense tape-à-l'oeil doté de graphismes somptueux, il est vrai. On sent réellement le côté "next-gen" du titre. Je n'en dirai pas plus de ce côté, il en a déjà été trop dit.
Seconde immense déception du soft : le scénario. Au lieu de s'en tenir à une ligne scénaristique simple et dépendante du personnage principal Altaïr, Ubisoft est allé se fourvoyer dans un espèce de bad trip tout droit sorti de l'esprit d'un Philip K. Dick shooté aux hormones. Pour faire court : vous incarnez le descendant de cet assassin dans un futur proche et, kidnappé par une organisation lambda, vous êtes forcé de revivre le passé guerrier d'Altaïr via une machine qui reconstitue la mémoire de ce dernier à partir de votre être.
"Holà !" me direz-vous. "C'est absolument impossible". Et bien si, c'est possible. Chez Ubisoft, il existe ce genre de mémoire au sein des individus. Cette mémoire, c'est l'ADN...
Franchement, qui a conçu ça ? QUI ??? Que je le châtie vite fait.
Grosso modo, si vous pétez, c'est inscrit dans votre ADN pour des millénaires. Soyez prévenus.
Du coup, je vais vous faire le scénario en rapide : bing bing, complot mondial, société secrète, trésor caché, ton péremptoire, musique dramatique. Et rires. Les vôtres.
Assassin's Creed, une immense déception pour moi. Ennuyeux, mou et peu inspiré au final, je ne suis pas sûr qu'il parvienne à rester dans les mémoires. Sauf peut-être dans l'ADN des concepteurs d'UbiSoft.
Note : 11/20

Doté de graphismes somptueux, d'un univers inégalable et de possibilités scénaristiques proprement hallucinantes, Assassin's Creed est pourtant un jeu fondamentalement mollasson et tape-à-l'oeil.
Mollasson, tout d'abord, parce que notre petit assassin ne sait finalement pas faire grand chose d'autre à part s'asseoir sur un banc, faire du cheval, zigouiller deux ou trois gardes et partir en courant. On est très loin des promesses d'Ubisoft en la matière qui, rappelons-le, avait clamé haut et fort qu'Assassin's Creed serait un espèce de GTA médiéval. GTA peut-être, mais sans doute plus GTA 1 et 2 que GTA San Andreas ou GTA IV.
Parce que l'on s'ennuie ferme dans ce jeu ! Les infiltrations sont franchement des scènes redondantes, éminemment scriptées et, comble du vice, trop faciles. Vous ratez l'objectif et vous vous faites repérer ? Vous avez peur ? Que nenni. Vous prenez votre chtite épée, massacrez les deux-trois péons qui traînent, vous vous cachez dans une botte de foin et attendez de pouvoir recommencer.
Bon, ok, je suis partial : GTA repose grosso modo sur les mêmes rouages de jeu et ce genre d'écueil n'est pas vraiment gênant en soi. Il le devient pourtant quand l'IA du jeu ne parvient pas à rattraper le coup (et pourtant, GTA n'est pas une référence en la matière, loin s'en faut).
Pour faire court : l'IA d'Assassin's Creed est à peu près comparable à celle d'un grille-pain. Un grille-pain bas de gamme. Genre 5 euros à la Foir'Fouille.
Pour peu que vous ne vous comportiez pas EXACTEMENT comme l'avaient prévu les développeurs, vous pouvez faire à peu près n'importe quoi dans le jeu. Je ne plaisante pas : il est possible, par exemple, de zigouiller toute une colonne de gardes marchant en file indienne en vous y prenant un par un et en commençant par le dernier, genre "Petit Poucet assassin"... Pathétique.

Seconde immense déception du soft : le scénario. Au lieu de s'en tenir à une ligne scénaristique simple et dépendante du personnage principal Altaïr, Ubisoft est allé se fourvoyer dans un espèce de bad trip tout droit sorti de l'esprit d'un Philip K. Dick shooté aux hormones. Pour faire court : vous incarnez le descendant de cet assassin dans un futur proche et, kidnappé par une organisation lambda, vous êtes forcé de revivre le passé guerrier d'Altaïr via une machine qui reconstitue la mémoire de ce dernier à partir de votre être.
"Holà !" me direz-vous. "C'est absolument impossible". Et bien si, c'est possible. Chez Ubisoft, il existe ce genre de mémoire au sein des individus. Cette mémoire, c'est l'ADN...
Franchement, qui a conçu ça ? QUI ??? Que je le châtie vite fait.
Grosso modo, si vous pétez, c'est inscrit dans votre ADN pour des millénaires. Soyez prévenus.
Du coup, je vais vous faire le scénario en rapide : bing bing, complot mondial, société secrète, trésor caché, ton péremptoire, musique dramatique. Et rires. Les vôtres.
Assassin's Creed, une immense déception pour moi. Ennuyeux, mou et peu inspiré au final, je ne suis pas sûr qu'il parvienne à rester dans les mémoires. Sauf peut-être dans l'ADN des concepteurs d'UbiSoft.
Note : 11/20