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Command and Conquer : Alerte Rouge
Tout d'abord, un premier constat, j'ai vite râlé.
Et oui, après avoir joué à des wargames plus récents à l'interface toujours plus ergonomique, c'est assez énervant de faire défiler la seule fenêtre de construction pour tous les bâtiments/unités. Heureusement que Westwood avait corrigé le tir avec "Soleil de Tiberium".
Néanmoins, les vieilles habitudes reviennent vite et je me laisse doucement charmer par les graphismes mignonnets des moissonneuses qui déposent le minerai, des tanks qui écrabouillent les fantassins dans un petit "sprouitch" mémorable, ou encore des bidons d'huile qui, grâce à leur disposition fourbe, permettent d'enflammer les malheureux soldats ennemis...
Sans compter les musiques de Frank Klepacki qui comptent parmi les meilleures de la série des "Command & Conquer" et me replongent avec délices dix ans en arrière.
Ajouté à cela, le meilleur pour la fin : les cinématiques !
Oh, pas celles où l'on voit des avions de chasses et autres machines de guerre en action... Non, je veux bien sûr parler des séquences avec les acteurs, que du bonheur ! Du rire en barre !
Autant les cinématiques des Alliés arrivent à garder un minimum de sérieux par la relative sobriété du jeu des acteurs... autant celles des soviétiques sont à crever de rire, où chacun des comédiens (Gradenko, Koukov mais surtout Staline) surjouent les empoisonnements, étranglements, et autres rires sardoniques dignes de méchants ruskofs mangeurs d'enfants.
Cela dit, j'avais oublié qu'à la fin de la campagne Soviétique, l'URSS de Staline devenait finalement le berceau de la Confrérie du NOD puisque Kane himself arrive à la toute-fin et prend les rennes du pouvoir ! Très sympa
Au final, malgré son interface moins ergonomique que ses successeurs, malgré le fait qu'il ne possède pas de gestion du relief, et malgré ses deux seuls types de terrain (neige et forêt), j'ai vraiment pris du plaisir à me replonger dans Alerte Rouge, mais la nostalgie y a joué pour beaucoup.
Je doute qu'un joueur qui le découvre aujourd'hui puisse lui trouver un quelconque intérêt (sinon historique).
Sur ce, j'attaque le numéro 2 !
Et oui, après avoir joué à des wargames plus récents à l'interface toujours plus ergonomique, c'est assez énervant de faire défiler la seule fenêtre de construction pour tous les bâtiments/unités. Heureusement que Westwood avait corrigé le tir avec "Soleil de Tiberium".
Néanmoins, les vieilles habitudes reviennent vite et je me laisse doucement charmer par les graphismes mignonnets des moissonneuses qui déposent le minerai, des tanks qui écrabouillent les fantassins dans un petit "sprouitch" mémorable, ou encore des bidons d'huile qui, grâce à leur disposition fourbe, permettent d'enflammer les malheureux soldats ennemis...
Sans compter les musiques de Frank Klepacki qui comptent parmi les meilleures de la série des "Command & Conquer" et me replongent avec délices dix ans en arrière.

Oh, pas celles où l'on voit des avions de chasses et autres machines de guerre en action... Non, je veux bien sûr parler des séquences avec les acteurs, que du bonheur ! Du rire en barre !
Autant les cinématiques des Alliés arrivent à garder un minimum de sérieux par la relative sobriété du jeu des acteurs... autant celles des soviétiques sont à crever de rire, où chacun des comédiens (Gradenko, Koukov mais surtout Staline) surjouent les empoisonnements, étranglements, et autres rires sardoniques dignes de méchants ruskofs mangeurs d'enfants.
Cela dit, j'avais oublié qu'à la fin de la campagne Soviétique, l'URSS de Staline devenait finalement le berceau de la Confrérie du NOD puisque Kane himself arrive à la toute-fin et prend les rennes du pouvoir ! Très sympa
Au final, malgré son interface moins ergonomique que ses successeurs, malgré le fait qu'il ne possède pas de gestion du relief, et malgré ses deux seuls types de terrain (neige et forêt), j'ai vraiment pris du plaisir à me replonger dans Alerte Rouge, mais la nostalgie y a joué pour beaucoup.
Je doute qu'un joueur qui le découvre aujourd'hui puisse lui trouver un quelconque intérêt (sinon historique).
Sur ce, j'attaque le numéro 2 !