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Buzz Aldrin's Race Into Space
Date de sortie
11/03/1993 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution
Distribution en Italie
Systèmes








Multijoueurs

Dosbox
Compatible avec la version 0.72
#1960 #cdaudio #decors2dbitmap #digit #espace #etatsunis #objets2dbitmap #recherche #russie
Présentation
Dans la lourde atmosphère de la Guerre Froide, il était un domaine qui monopolisait toutes les attentions, dans le monde entier : la course à l'espace ! Et ce sont deux camps qui s'affrontent pour obtenir la suprématie de la Nouvelle Frontière. Comme dans la réalité, le monde occidental, représenté par les Etats-Unis, va s'opposer au bloc de l'est, et surtout à la Russie. Vous allez prendre en charge le développement du programme spatial de la puissance que vous choisirez, du recrutement des astronautes (ou cosmonautes ?) au secteur R&D. Vous programmerez les missions, opterez pour le type de lanceur le plus adapté à chacune, et suivrez chaque capsule.
Présentation de Mon Ours
Buzz Aldrin, le second Homme à avoir marché sur la lune, a prêté son nom à ce jeu de gestion (BARIS) qui entend faire revivre la conquête de la lune. Vous aurez le choix entre incarner le camp soviétique ou celui des américains. Les soviétiques possèdent plus d'argent au départ et moins par la suite ; c'est l'inverse pour les américains. Hormis le décor, le fond du jeu est rigoureusement identique pour chaque camp : vous achetez les composants de votre fusée, vous investissez dans la R&D et vous programmez vos futures missions. Voilà les tâches basiques qui seront agrémentées par la sélection et l'entraînement des astronautes et l'ouverture de programmes spatiaux supplémentaires (les missions Gemini après celles de Mercuri exemple). Le jeu est bien documenté et offre l'accès à une encyclopédie bienvenue. Les graphismes sont à la fois datés pour les cartes principales et plus modernes pour le lancement. La bande son est bien réalisée et suffisamment immersive. BARIS fait donc mieux que la moyenne des jeux de son époque et l'ensemble n'est pas désagréable encore aujourd'hui. Dans BARIS, tout tourne donc autour d'un triptyque : je construis ma fusée, je la lance et j?attends le résultat. Si les premières missions sont simples, il faudra ensuite essayer plusieurs fois pour bien assimiler les missions essentielles permettant d'aller sur la lune, de celles qui peuvent être évitées. Il n'y a pas vraiment de routine dans BARIS car le taux d'échec de vos lanceurs est très haut. Un succès et vous aurez presque envie de sabler le champagne. Après quelques tentatives toutefois, la lassitude risque de s'installer car le joueur n'a pas vraiment le sentiment de maîtrise sur le devenir de sa fusée et plus encore sur le futur du programme spatial. On sera tenté alors de reprendre ses sauvegardes parce que non, Buzz Aldrin ne doit pas mourir à sa première mission, ni à sa deuxième, ni à sa troisième... Les jeux de gestion sur l'espace sont pratiquement inexistants. BARIS comble un manque en la matière. L'impression demeure toutefois mitigée : le jeu est très intéressant, immersif. Mais, la difficulté du jeu est trop grande et aller sur la Lune en 1969 relèvera pour bon nombre de joueurs d'une vraie chimère. Gageons que la philosophie Shadoks permettra de garder le cap vers les étoiles : "En essayant continuellement on finit par réussir. Donc : plus ça rate, plus on a de chance que ça marche".
Lancement sous DOSBox
Exécutez le fichier BUZZ.BAT. INSTALL.EXE permet de configurer le jeu.
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Dans la lourde atmosphère de la Guerre Froide, il était un domaine qui monopolisait toutes les attentions, dans le monde entier : la course à l'espace ! Et ce sont deux camps qui s'affrontent pour obtenir la suprématie de la Nouvelle Frontière. Comme dans la réalité, le monde occidental, représenté par les Etats-Unis, va s'opposer au bloc de l'est, et surtout à la Russie. Vous allez prendre en charge le développement du programme spatial de la puissance que vous choisirez, du recrutement des astronautes (ou cosmonautes ?) au secteur R&D. Vous programmerez les missions, opterez pour le type de lanceur le plus adapté à chacune, et suivrez chaque capsule.

Buzz Aldrin, le second Homme à avoir marché sur la lune, a prêté son nom à ce jeu de gestion (BARIS) qui entend faire revivre la conquête de la lune. Vous aurez le choix entre incarner le camp soviétique ou celui des américains. Les soviétiques possèdent plus d'argent au départ et moins par la suite ; c'est l'inverse pour les américains. Hormis le décor, le fond du jeu est rigoureusement identique pour chaque camp : vous achetez les composants de votre fusée, vous investissez dans la R&D et vous programmez vos futures missions. Voilà les tâches basiques qui seront agrémentées par la sélection et l'entraînement des astronautes et l'ouverture de programmes spatiaux supplémentaires (les missions Gemini après celles de Mercuri exemple). Le jeu est bien documenté et offre l'accès à une encyclopédie bienvenue. Les graphismes sont à la fois datés pour les cartes principales et plus modernes pour le lancement. La bande son est bien réalisée et suffisamment immersive. BARIS fait donc mieux que la moyenne des jeux de son époque et l'ensemble n'est pas désagréable encore aujourd'hui. Dans BARIS, tout tourne donc autour d'un triptyque : je construis ma fusée, je la lance et j?attends le résultat. Si les premières missions sont simples, il faudra ensuite essayer plusieurs fois pour bien assimiler les missions essentielles permettant d'aller sur la lune, de celles qui peuvent être évitées. Il n'y a pas vraiment de routine dans BARIS car le taux d'échec de vos lanceurs est très haut. Un succès et vous aurez presque envie de sabler le champagne. Après quelques tentatives toutefois, la lassitude risque de s'installer car le joueur n'a pas vraiment le sentiment de maîtrise sur le devenir de sa fusée et plus encore sur le futur du programme spatial. On sera tenté alors de reprendre ses sauvegardes parce que non, Buzz Aldrin ne doit pas mourir à sa première mission, ni à sa deuxième, ni à sa troisième... Les jeux de gestion sur l'espace sont pratiquement inexistants. BARIS comble un manque en la matière. L'impression demeure toutefois mitigée : le jeu est très intéressant, immersif. Mais, la difficulté du jeu est trop grande et aller sur la Lune en 1969 relèvera pour bon nombre de joueurs d'une vraie chimère. Gageons que la philosophie Shadoks permettra de garder le cap vers les étoiles : "En essayant continuellement on finit par réussir. Donc : plus ça rate, plus on a de chance que ça marche".

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