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Firestorm : Thunderhawk 2
Série
Date de sortie
04/12/1995 (
)

Genre
Développement
Édition
Ré-édition budget
Ré-édition budget
Systèmes

Dosbox
Compatible avec la version 0.73
#1990 #ameriquesud #armee #asie #cdaudio #decors3dtext #europe #helico #moyenorient #objets3dtext #scrollmulti #vuesubj
Présentation
Avec Thunderhawk, Core Design avait sorti un simulateur d'hélicoptère qui privilégiait largement l'action non-stop et la simplicité du pilotage sur le réalisme. Cela avait permis au jeu de se faire remarquer sur Amiga grâce à son animation fluide et ses missions variées. En revanche, sur PC, il pouvait difficilement rivaliser avec Gunship 2000 ou Comanche : Maximum Overkill. Quatre ans plus tard, Core Design a abandonné l'Amiga pour passer au PC et aux consoles, les techniques d'animation en 3D ont énormément progressé. C'était l'occasion de donner une suite digne de ce nom à Thunderhawk. Développé par le même programmeur, Mark Avory, Firestorm est sorti d'abord sur PlayStation et Saturn avant d'arriver sur PC. Le programme exploite à fond les techniques de mapping du moment, et bien qu'ils soient seulement en VGA, les graphismes ne sont pas handicapés par une pixellisation excessive. L'animation est à la hauteur, au prix d'un gros défaut dont on reparlera plus bas.
L'un des points forts de Thunderhawk était le nombre de missions, qui se déroulaient aussi bien au Moyen-Orient que sur la banquise. On retrouve cette richesse de situations dans Firestorm, qui propose huit points chauds à pacifier sur plusieurs continents (toujours les mêmes, à vrai dire : Amérique centrale et du sud, Europe centrale, Moyen-Orient et Asie). Au cours du missions, on aura l'occasion de détruire en vrac des ponts, des bâtiments, des tanks, des hélicoptères, des trains, des croiseurs... Tout cela se déroule sur terre ou sur la mer, de jour ou parfois de nuit. En détruisant certains bâtiments, on verra même des soldats s'en échapper. On aura également à escorter des navires ou des camions humanitaires, et bien d'autres choses. Bref, difficile de s'ennuyer. Tout comme Thunderhawk, Firestorm peut être piloté à la fois avec le clavier et la souris, ce qui permet de profiter du cockpit virtuel, ou avec un joystick. Les développeurs ont réduit le nombre de touches à utiliser et ont équipé le cockpit de nombreux indicateurs colorés : les cibles visées, primaires (à détruire impérativement pour terminer la mission) ou secondaires (souvent gênantes mais facultatives, surtout si les munitions viennent à manquer), les véhicules alliés, les viseurs...
Jeu d'action à la base, Firestorm ne procure pas les mêmes sensations que Comanche : Maximum Overkill. Tout d'abord, le relief du terrain est moins accidenté, on ne pourra guère se glisser dans un canyon pour surprendre les ennemis. Le seul élément du décor un peu traître, ce sont les arbres. De plus, la vitesse est ici nettement plus élevée, mais on ne pourra guère en profiter à cause d'un gros souci : le clipping. Firestorm, c'est en quelque sorte le premier simulateur de pilote d'hélicoptère myope. Le champ de vision n'est pas bien profond, et si vous accélérez à fond, le relief se forme sous vos yeux et les appareils ennemis apparaissent brusquement à portée de tir ! Il est frustrant de ne pas pouvoir configurer le clipping en fonction de la puissance de la machine, car l'animation donne envie de foncer dans le tas. C'est le principal problème de Firestorm, mais il y en a quelques autres. Le doublage français, par exemple : la voix qui présente les missions est aussi enjouée que les annonces sonores de retards ou d'incidents dans le métro parisien, et celle du co-pilote ne vaut guère mieux. Les doubleurs anglais semblent nettement plus motivés. Le niveau de difficulté maximal est infernal et risque d'en décourager plus d'un. Dernier souci : l'absence de mode multijoueurs, un atout du PC que Core Design ne maîtrisait visiblement pas encore.
Ces reproches ne nuisent pas à Firestorm, qui reste un bon jeu d'action en 3D, rapide et prenant.
Lancement sous DOSBox
Exécutez le fichier INSTALL.BAT. Après l'installation et la configuration du son, allez dans le répertoire créé sur le disque dur virtuel et exécutez TH2.BAT. SETUP.EXE permet de reconfigurer le son.
Attention : les scènes intermédiaires font planter le logiciel si le nombre de cycles de DOSBox est trop important. Ne mettez pas ce nombre au maximum, et réduisez-le avant de lancer le programme si vous avez constaté des plantages.
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Avec Thunderhawk, Core Design avait sorti un simulateur d'hélicoptère qui privilégiait largement l'action non-stop et la simplicité du pilotage sur le réalisme. Cela avait permis au jeu de se faire remarquer sur Amiga grâce à son animation fluide et ses missions variées. En revanche, sur PC, il pouvait difficilement rivaliser avec Gunship 2000 ou Comanche : Maximum Overkill. Quatre ans plus tard, Core Design a abandonné l'Amiga pour passer au PC et aux consoles, les techniques d'animation en 3D ont énormément progressé. C'était l'occasion de donner une suite digne de ce nom à Thunderhawk. Développé par le même programmeur, Mark Avory, Firestorm est sorti d'abord sur PlayStation et Saturn avant d'arriver sur PC. Le programme exploite à fond les techniques de mapping du moment, et bien qu'ils soient seulement en VGA, les graphismes ne sont pas handicapés par une pixellisation excessive. L'animation est à la hauteur, au prix d'un gros défaut dont on reparlera plus bas.
L'un des points forts de Thunderhawk était le nombre de missions, qui se déroulaient aussi bien au Moyen-Orient que sur la banquise. On retrouve cette richesse de situations dans Firestorm, qui propose huit points chauds à pacifier sur plusieurs continents (toujours les mêmes, à vrai dire : Amérique centrale et du sud, Europe centrale, Moyen-Orient et Asie). Au cours du missions, on aura l'occasion de détruire en vrac des ponts, des bâtiments, des tanks, des hélicoptères, des trains, des croiseurs... Tout cela se déroule sur terre ou sur la mer, de jour ou parfois de nuit. En détruisant certains bâtiments, on verra même des soldats s'en échapper. On aura également à escorter des navires ou des camions humanitaires, et bien d'autres choses. Bref, difficile de s'ennuyer. Tout comme Thunderhawk, Firestorm peut être piloté à la fois avec le clavier et la souris, ce qui permet de profiter du cockpit virtuel, ou avec un joystick. Les développeurs ont réduit le nombre de touches à utiliser et ont équipé le cockpit de nombreux indicateurs colorés : les cibles visées, primaires (à détruire impérativement pour terminer la mission) ou secondaires (souvent gênantes mais facultatives, surtout si les munitions viennent à manquer), les véhicules alliés, les viseurs...
Jeu d'action à la base, Firestorm ne procure pas les mêmes sensations que Comanche : Maximum Overkill. Tout d'abord, le relief du terrain est moins accidenté, on ne pourra guère se glisser dans un canyon pour surprendre les ennemis. Le seul élément du décor un peu traître, ce sont les arbres. De plus, la vitesse est ici nettement plus élevée, mais on ne pourra guère en profiter à cause d'un gros souci : le clipping. Firestorm, c'est en quelque sorte le premier simulateur de pilote d'hélicoptère myope. Le champ de vision n'est pas bien profond, et si vous accélérez à fond, le relief se forme sous vos yeux et les appareils ennemis apparaissent brusquement à portée de tir ! Il est frustrant de ne pas pouvoir configurer le clipping en fonction de la puissance de la machine, car l'animation donne envie de foncer dans le tas. C'est le principal problème de Firestorm, mais il y en a quelques autres. Le doublage français, par exemple : la voix qui présente les missions est aussi enjouée que les annonces sonores de retards ou d'incidents dans le métro parisien, et celle du co-pilote ne vaut guère mieux. Les doubleurs anglais semblent nettement plus motivés. Le niveau de difficulté maximal est infernal et risque d'en décourager plus d'un. Dernier souci : l'absence de mode multijoueurs, un atout du PC que Core Design ne maîtrisait visiblement pas encore.
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