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Deo Gratias
Titre provisoire
Interventions divines
Date de sortie
1999 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution en Espagne
Systèmes






#decors2dbitmap #dieu #objets2dbitmap #religion #scrollmulti #vuehaute
Toile de fond
Démiurge, voilà un titre qui claque. On l'avait déjà entendu dans Afterlife, et il semble que trois années plus tard, il soit encore d'actualité ! Démiurge c'est le dieu créateur de toute chose. Et comme le jeu signifie littéralement merci à dieu (Deo Gratias) vous comprendrez que nous allons parler de toute puissance... ou presque. Retour en arrière, dans la glorieuse année 1989 : des milliers de joueurs se prenaient pour des dieux en jouant à Populous, écrasant leurs sujets ou les faisant prospérer selon leur bon vouloir... Le concept allait tellement marquer les esprits que l'on inventa un titre "le god game" pour le qualifier. Populous connut un certains nombre de rivaux directs parmi lesquels on pourra citer Afterlife. En 1998 était sorti Populous l'origine de la création. Le jeu connut un accueil en demi-teinte et la mode des God Game sembla alors s'essoufler... pour mieux revenir en 2001 avec Black and White. Entre ces deux dates, les Français de Cryo tentèrent un pari audacieux : se lancer dans le God Game et chasser sur les terres des Anglo-Saxons qui régnaient sans partage sur ce style de jeu depuis une décennie.
Le jeu
Je démarre. Écran d'accueil. Des options. Pleins d'options. Beaucoup trop d'options ! Bon d'accord, c'est le genre de jeu où la micro-gestion doit être importante ! J'essaye de comprendre. Je m'applique. Premier début de partie, je me ravise et je recommence. Comme dans Populous, la foi est primordiale pour faire "vivre" le démiurge. Alors, pour ma deuxième partie, je choisis d'être un dieu gentil, avec des créatures certes peu intelligentes mais pas rebelles. Comme ça, si je me trompe, il n'y a pas de risque d'être en manque de fidèles ! Bêtes comme elles sont, elles m'aimeront quoiqu'il arrive ! Oui, je sais je devrais les élever un peu, les pauvres, mais bon je n'ai pas envie de perdre ma couronne de dieu tout de suite ! Je choisis une prairie comme environnement pour commencer. Non, je relance le jeu et opte pour le désert, non les collines. Je choisis ensuite où implanter l'équivalent de l'Olympe puis le premier village de mes créatures. Je les mets à côté. Bon c'est parti cette fois ? Me revoilà dans ce que je qualifierai à défaut de mieux d'Olympe. J'y ai mon sanctuaire. Je reçois mes messages. Je gère mes pouvoirs que je peux étendre en fonction d'une sorte de mana alimentée par mes fidèles (merci Populous). La gamme des pouvoirs est très étendue. Pas facile de donner une cohérence entre le type de dieu et le type de pouvoirs a priori. Il va falloir creuser. Est-ce que cela pourrait servir pour un côté roleplay. Non, visiblement, les créateurs de Deo Gratias n'y ont pas pensé. On se sent immergé. La voix de Jean Topart (acteur marquant et qui fut connu entre autres pour avoir été la voix off de nombreux dessins-animés de la génération jeu vidéo comme "Les Mystérieuses Cités d'or", "Rémi sans famille" ou encore "Ulysse 31") nous y aide grandement. Est-ce aussi parque l'Olympe ressemble un peu à ce qu'on trouvait dans "Ulysse 31" et que cela a eu en moi un effet "madeleine de Proust" ?
Bon, c'est (re)parti ! Ah non, il faut encore faire des réglages et encore des réglages... Ah bon, encore un peu ? Vous voilà le démiurge. Celui qui peut tout... Enfin, quand son pouvoir ne faiblit pas... Ah oui, j'ai commandé des pouvoirs. Il faut que j'attende que mon mana revienne pour les lancer. Tiens, il y a encore plein de pouvoirs. J'en recommande, je suis en sommeil, j'en recommande. Et ainsi de suite. Maintenant, j'ai tous les pouvoirs possibles. D'accord mais comment ça se fait ? J'ai des créatures serviles qui ont pullulé sur la planète. Puisque je ne me manifeste pas, elles croient moins en moi voire ont provoqué un schisme. Mais que m'importe, je suis un dieu plein de pouvoirs maintenant ! Oui mais alors à quoi servent les créatures ? Quelque chose ne va pas du côté de l'I.A. qui aurait dû bloquer ma progression et m'alerter sur cela. Bon pas grave, je recommence. Allez nouvelle race plus agressive, plus intelligente. Ça va swinguer pour éviter qu'elles ne croient plus en moi. Je recommence tout. Je suis un dieu plus agressif du genre que l'on voit dans les films de super héros. Allez, les options encore. Bon je passe rapidement. Place à la micro-gestion et au village de mes fidèles. Que demandent-ils ? De réussir en affaires ? D'accord, je suis pas intéressé. De faire revenir un être disparu après une épidémie. Bon, je sais que je ne suis plus un Dieu gentil mais je craque. Allez, je te donne ce que tu veux. Nouvelle demande. La même. Ah, oui mais bon c'est une épidémie, je comprends. Allez. Bon où est mon sort ? Disparu ? Plus de mana ? Oui mais bon alors je suis un dieu ou pas ? Que vous soyez gentil ou méchant, que vous preniez une race de benêt ou les futurs maîtres de l'univers, les demandes sont les mêmes. En soi, pourquoi pas. Que des mortels soient tous animés par les mêmes velléités est même une question philosophique qui peut être débattue. Sauf que cela tourne en rond dans Deo Gratias. On n'a pas le sentiment d'agir sur la vie de l'espèce comme dans Populous (et hop que je noie le petit agressif du dieu d'en face qui m'embête et hop que je crée un château pour mes servants). Non, ici c'est tout pareil. Rapidement, on a plus de pouvoir. On dort. Il faut choisir : augmenter ses pouvoirs ou répondre aux besoins de ses sujets. Dilemme intéressant mais mal calibré vu que je peux laisser l'espèce se débrouiller à peu près toute seule. Tout cela est brouillon et frustrant. La liaison micro-gestion/stratégie divine est mal articulée. Je refais une partie pour le plaisir c'est à dire pour découvrir les différents pouvoirs. Les salles que je n'ai pas visitées. Tiens, je peux modifier le credo de mes sujets. Ah oui, donc, il faut un credo adapté, qu'ils me voient et des pouvoirs cohérents avec le type de dieu que je suis. C'est ça qu'il y a dans l'algorithme du jeu ? Enfin, ce qu'il devrait y avoir parce que l'on peut s'en passer. Le jeu devait proposer une extension et une guerre entre dieux mais je ne suis jamais allé tester pour vérifier. Pourquoi ? Parce que le charme a opéré au début mais après plus rien. Comme une promesse non tenue, Deo Gratias vous laisse un mauvais arrière goût en bouche.
L'avis
Le problème de Deo Gratias est qu'il est constitué d'une superbe entrée en matière avec beaucoup de paramétrages mais qui ne servent pratiquement à rien après, faute d'une micro-gestion prenante et qui ait du sens. Deo Gratias n'ira donc pas au Panthéon du jeu vidéo. Comment rendre compte de son expérience vidéo-ludique après avoir testé Deo Gratias ? Tout d'abord, il y a un "ah oué ! "pour son aspect graphique sur l'équivalent du mont Olympe. Ensuite, il y un "beeeerk " au niveau de sa micro-gestion. Et puis revient le "wouaaaaaaaa" quand on entend Jean Topart qui intervient dans le jeu. Puis un "mais on fait quoi dans ce jeu" ? Deo Gratias, ce sont les montagnes russes émotionnelles. On oscille entre du bon et du très mauvais sans que l'un vienne compenser l'autre. Si cela avait été le cas, on aurait pu en conclure à un jeu moyen. Au lieu de cela, on a plutôt l'impression de deux jeux mal assemblés avec d'un côté un jeu non abouti de type god game qui semble plutôt réjouissant mais dont les possibilités sont laissées en suspens. Et de l'autre, on a un micro-jeu de gestion insipide. Il reste un sentiment fort de frustration devant les immenses possibilités de ce jeu. On sent que l'on n'est pas passé loin d'un jeu qui aurait pu repenser le God Game tant la complexité et la profondeur entre-aperçues ça et là semblaient importantes. Quel dommage ! Pour autant, je le recommanderai. Paradoxal ? Oui sûrement, mais Deo Gratias fait partie des jeux qui provoquent des sentiments forts et très différents suivant les joueurs. Certains adoreront et expliqueront qu'il faut faire comme ceci ou cela. D'autres en resteront comme moi sur un sentiment d'inabouti. Quelques uns stopperont net l'expérience devant tous les défauts du jeu.
Lancement
Conçu pour fonctionner sous Win 98, le jeu a été testé avec succès sous windows 10 : il suffit pour cela de l'installer à partir du fichier iso.
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Démiurge, voilà un titre qui claque. On l'avait déjà entendu dans Afterlife, et il semble que trois années plus tard, il soit encore d'actualité ! Démiurge c'est le dieu créateur de toute chose. Et comme le jeu signifie littéralement merci à dieu (Deo Gratias) vous comprendrez que nous allons parler de toute puissance... ou presque. Retour en arrière, dans la glorieuse année 1989 : des milliers de joueurs se prenaient pour des dieux en jouant à Populous, écrasant leurs sujets ou les faisant prospérer selon leur bon vouloir... Le concept allait tellement marquer les esprits que l'on inventa un titre "le god game" pour le qualifier. Populous connut un certains nombre de rivaux directs parmi lesquels on pourra citer Afterlife. En 1998 était sorti Populous l'origine de la création. Le jeu connut un accueil en demi-teinte et la mode des God Game sembla alors s'essoufler... pour mieux revenir en 2001 avec Black and White. Entre ces deux dates, les Français de Cryo tentèrent un pari audacieux : se lancer dans le God Game et chasser sur les terres des Anglo-Saxons qui régnaient sans partage sur ce style de jeu depuis une décennie.

Je démarre. Écran d'accueil. Des options. Pleins d'options. Beaucoup trop d'options ! Bon d'accord, c'est le genre de jeu où la micro-gestion doit être importante ! J'essaye de comprendre. Je m'applique. Premier début de partie, je me ravise et je recommence. Comme dans Populous, la foi est primordiale pour faire "vivre" le démiurge. Alors, pour ma deuxième partie, je choisis d'être un dieu gentil, avec des créatures certes peu intelligentes mais pas rebelles. Comme ça, si je me trompe, il n'y a pas de risque d'être en manque de fidèles ! Bêtes comme elles sont, elles m'aimeront quoiqu'il arrive ! Oui, je sais je devrais les élever un peu, les pauvres, mais bon je n'ai pas envie de perdre ma couronne de dieu tout de suite ! Je choisis une prairie comme environnement pour commencer. Non, je relance le jeu et opte pour le désert, non les collines. Je choisis ensuite où implanter l'équivalent de l'Olympe puis le premier village de mes créatures. Je les mets à côté. Bon c'est parti cette fois ? Me revoilà dans ce que je qualifierai à défaut de mieux d'Olympe. J'y ai mon sanctuaire. Je reçois mes messages. Je gère mes pouvoirs que je peux étendre en fonction d'une sorte de mana alimentée par mes fidèles (merci Populous). La gamme des pouvoirs est très étendue. Pas facile de donner une cohérence entre le type de dieu et le type de pouvoirs a priori. Il va falloir creuser. Est-ce que cela pourrait servir pour un côté roleplay. Non, visiblement, les créateurs de Deo Gratias n'y ont pas pensé. On se sent immergé. La voix de Jean Topart (acteur marquant et qui fut connu entre autres pour avoir été la voix off de nombreux dessins-animés de la génération jeu vidéo comme "Les Mystérieuses Cités d'or", "Rémi sans famille" ou encore "Ulysse 31") nous y aide grandement. Est-ce aussi parque l'Olympe ressemble un peu à ce qu'on trouvait dans "Ulysse 31" et que cela a eu en moi un effet "madeleine de Proust" ?
Bon, c'est (re)parti ! Ah non, il faut encore faire des réglages et encore des réglages... Ah bon, encore un peu ? Vous voilà le démiurge. Celui qui peut tout... Enfin, quand son pouvoir ne faiblit pas... Ah oui, j'ai commandé des pouvoirs. Il faut que j'attende que mon mana revienne pour les lancer. Tiens, il y a encore plein de pouvoirs. J'en recommande, je suis en sommeil, j'en recommande. Et ainsi de suite. Maintenant, j'ai tous les pouvoirs possibles. D'accord mais comment ça se fait ? J'ai des créatures serviles qui ont pullulé sur la planète. Puisque je ne me manifeste pas, elles croient moins en moi voire ont provoqué un schisme. Mais que m'importe, je suis un dieu plein de pouvoirs maintenant ! Oui mais alors à quoi servent les créatures ? Quelque chose ne va pas du côté de l'I.A. qui aurait dû bloquer ma progression et m'alerter sur cela. Bon pas grave, je recommence. Allez nouvelle race plus agressive, plus intelligente. Ça va swinguer pour éviter qu'elles ne croient plus en moi. Je recommence tout. Je suis un dieu plus agressif du genre que l'on voit dans les films de super héros. Allez, les options encore. Bon je passe rapidement. Place à la micro-gestion et au village de mes fidèles. Que demandent-ils ? De réussir en affaires ? D'accord, je suis pas intéressé. De faire revenir un être disparu après une épidémie. Bon, je sais que je ne suis plus un Dieu gentil mais je craque. Allez, je te donne ce que tu veux. Nouvelle demande. La même. Ah, oui mais bon c'est une épidémie, je comprends. Allez. Bon où est mon sort ? Disparu ? Plus de mana ? Oui mais bon alors je suis un dieu ou pas ? Que vous soyez gentil ou méchant, que vous preniez une race de benêt ou les futurs maîtres de l'univers, les demandes sont les mêmes. En soi, pourquoi pas. Que des mortels soient tous animés par les mêmes velléités est même une question philosophique qui peut être débattue. Sauf que cela tourne en rond dans Deo Gratias. On n'a pas le sentiment d'agir sur la vie de l'espèce comme dans Populous (et hop que je noie le petit agressif du dieu d'en face qui m'embête et hop que je crée un château pour mes servants). Non, ici c'est tout pareil. Rapidement, on a plus de pouvoir. On dort. Il faut choisir : augmenter ses pouvoirs ou répondre aux besoins de ses sujets. Dilemme intéressant mais mal calibré vu que je peux laisser l'espèce se débrouiller à peu près toute seule. Tout cela est brouillon et frustrant. La liaison micro-gestion/stratégie divine est mal articulée. Je refais une partie pour le plaisir c'est à dire pour découvrir les différents pouvoirs. Les salles que je n'ai pas visitées. Tiens, je peux modifier le credo de mes sujets. Ah oui, donc, il faut un credo adapté, qu'ils me voient et des pouvoirs cohérents avec le type de dieu que je suis. C'est ça qu'il y a dans l'algorithme du jeu ? Enfin, ce qu'il devrait y avoir parce que l'on peut s'en passer. Le jeu devait proposer une extension et une guerre entre dieux mais je ne suis jamais allé tester pour vérifier. Pourquoi ? Parce que le charme a opéré au début mais après plus rien. Comme une promesse non tenue, Deo Gratias vous laisse un mauvais arrière goût en bouche.

Le problème de Deo Gratias est qu'il est constitué d'une superbe entrée en matière avec beaucoup de paramétrages mais qui ne servent pratiquement à rien après, faute d'une micro-gestion prenante et qui ait du sens. Deo Gratias n'ira donc pas au Panthéon du jeu vidéo. Comment rendre compte de son expérience vidéo-ludique après avoir testé Deo Gratias ? Tout d'abord, il y a un "ah oué ! "pour son aspect graphique sur l'équivalent du mont Olympe. Ensuite, il y un "beeeerk " au niveau de sa micro-gestion. Et puis revient le "wouaaaaaaaa" quand on entend Jean Topart qui intervient dans le jeu. Puis un "mais on fait quoi dans ce jeu" ? Deo Gratias, ce sont les montagnes russes émotionnelles. On oscille entre du bon et du très mauvais sans que l'un vienne compenser l'autre. Si cela avait été le cas, on aurait pu en conclure à un jeu moyen. Au lieu de cela, on a plutôt l'impression de deux jeux mal assemblés avec d'un côté un jeu non abouti de type god game qui semble plutôt réjouissant mais dont les possibilités sont laissées en suspens. Et de l'autre, on a un micro-jeu de gestion insipide. Il reste un sentiment fort de frustration devant les immenses possibilités de ce jeu. On sent que l'on n'est pas passé loin d'un jeu qui aurait pu repenser le God Game tant la complexité et la profondeur entre-aperçues ça et là semblaient importantes. Quel dommage ! Pour autant, je le recommanderai. Paradoxal ? Oui sûrement, mais Deo Gratias fait partie des jeux qui provoquent des sentiments forts et très différents suivant les joueurs. Certains adoreront et expliqueront qu'il faut faire comme ceci ou cela. D'autres en resteront comme moi sur un sentiment d'inabouti. Quelques uns stopperont net l'expérience devant tous les défauts du jeu.

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