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Ubik
Date de sortie
24/01/1998 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution
Distribution en Espagne
Distribution en Grèce
Systèmes


#adaptlivre #curseur #decors3dtext #equipe #objets3dtext #scrollmulti #sf #tactique #tempsreel #vuemixte
Scénario
Ubik est une adaptation du roman portant le même titre de Philip K. Dick. Le jeu se déroule à Los Angeles en 2019. Le joueur incarne Joe Chip (le personnage principal du roman), qui travaille pour le compte de Runciter Associates, une entreprise spécialisée dans le contre-espionnage industriel et la protection des secrets industriels. Joe Chip doit recruter et diriger une équipe d'agents aux compétences variées, dont certains disposent d'implants cybernétiques ou de pouvoirs psychiques. La première mission du joueur (mais pas de Joe Chip) consistera à "voler" un agent avec des pouvoirs psioniques hors du commun à une multinationale concurrente...
Gameplay
Ubik mêle une dimension de jeu de stratégie dans la sélection, l'entraînement et l'équipement des agents et dans les tactiques à mettre en oeuvre lors des missions, et un aspect de jeu d'action via les combats qui ponctuent les missions elles-mêmes. Le jeu se présente sous la forme de plans fixes et de personnages que le joueur voit à la troisième personne, la caméra se plaçant derrière ou autour des agents, que le joueur contrôle par l'intermédiaire d'une interface située à droite et au bas de l'écran. Les missions incluent diverses interactions avec le décor et avec les personnages. En dehors des missions, on peut aussi interagir avec les personnages et objets dans les différents étages de la Runciter, ce qui permet d'en savoir plus sur Joe Chip et ses associés.
Technique
Ubik utilise un graphisme à la Resident Evil : graphismes en 3D sur plan 2D fixe. Le jeu utilise des musiques CD pour accompagner l'action à l'écran, ainsi que des doublages français, et des effets sonores de bonne facture.
Commandes
Pour contrôler jusqu'à 5 agents en même temps ce n'est pas si compliqué une fois qu'on s'est habitué aux contrôles. De plus, le jeu explique les commandes à chaque démarrage, et dans le manuel. Ce qui n'est pas expliqué, c'est que désactiver / activer la caméra automatique permet de se recentrer sur les personnages, ce qui n'est pas vraiment fait automatiquement.
Avis du testeur
Modérément bien reçu par la critique dans l'ensemble, Ubik a beaucoup de bons côtés. D'abord, il respecte bien l'oeuvre de P. K. Dick, et plus particulièrement son roman éponyme. Le jeu se paie le luxe d'avoir son manuel préfacé par Norman Spinrad, un auteur de science-fiction américain et ami de longue date de Philip K. Dick. Et bien que les graphismes soient dépassés, même pour l'époque (Quake 2 était sorti un an avant, The Nomad Soul à peine un an après), la direction artistique est cohérente. Il n'empêche que pour un jeu de 1997, ne pas avoir de compatibilité pour l'accélération graphique 3DFX, extrêmement populaire à l'époque, est étrange. Les musiques CD par Eric Los valent le détour (bien qu'elles soient souvent répétées par le jeu), et les dialogues de Johan Robson sont un plaisir à lire (il avait écrit auparavant ceux de Lost Eden, KGB, Atlantis, Kult, ...).
Maintenant, il faut bien se rendre compte que le jeu, en plus d'être difficile à faire fonctionner, a un gameplay qui ne tient pas la distance. Le concept d'avoir des agents avec des équipements et pouvoirs différents sonne bel et bien bon sur le papier. Mais le moindre combat se transforme en apocalypse. Même en facile, on aura de la chance si on n'a pas un agent qui reste bloqué dans un couloir, qui tire contre un mur, ou qui ne se fait pas tuer bêtement. Les doublages sont quant à eux joués de manière très peu convaincante. Le meilleur acteur, c'est le robot devant l'ascenseur Runciter, un comble ! Bref, si on a de la patience, le jeu a beaucoup à offrir. Beaucoup de background, de profondeur dans les missions (il faut gérer son budget, ses agents, ses équipements, les pouvoirs psys, ses informateurs, les objectifs...). En fin de compte, je vous dirai de l'essayer, surtout si vous êtes fan de l'oeuvre de Philip K. Dick. Si le jeu ne vous plaît pas, il y a pléthore de jeux cyberpunk concurrents de l'époque : Deus Ex, The Nomad Soul, Syndicate Wars, System Shock 2...
Compatibilité
Là, ça se complique ! Il faut
impérativement avoir une machine (virtuelle ou non) avec Windows 98.
Dans le cas d'une machine virtuelle, il vous faudra VirtualPC 2007 et avoir installé les additions invitées.
De plus il vous faut utiliser CPUGrab
pour diminuer les performances globales et ainsi permettre au jeu de
fonctionner normalement (sinon votre personnage ne pourra pas bouger !).
Chez moi le bon paramètre semble être 90% !
Enfin, il faut installer Daemon Tools 3.47
pour monter les BIN/CUE. C'est la seule manière de profiter des
musiques CD. Dans le cas d'une machine virtuelle, on peut les mettre à
disposition de la VM avec un dossier partagé ou une ISO.
Si le jeu ne fonctionne toujours pas, il vous faut éventuellement désactiver l'accélération DirectDraw dans les options de l'outil dxdiag.
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Ubik est une adaptation du roman portant le même titre de Philip K. Dick. Le jeu se déroule à Los Angeles en 2019. Le joueur incarne Joe Chip (le personnage principal du roman), qui travaille pour le compte de Runciter Associates, une entreprise spécialisée dans le contre-espionnage industriel et la protection des secrets industriels. Joe Chip doit recruter et diriger une équipe d'agents aux compétences variées, dont certains disposent d'implants cybernétiques ou de pouvoirs psychiques. La première mission du joueur (mais pas de Joe Chip) consistera à "voler" un agent avec des pouvoirs psioniques hors du commun à une multinationale concurrente...

Ubik mêle une dimension de jeu de stratégie dans la sélection, l'entraînement et l'équipement des agents et dans les tactiques à mettre en oeuvre lors des missions, et un aspect de jeu d'action via les combats qui ponctuent les missions elles-mêmes. Le jeu se présente sous la forme de plans fixes et de personnages que le joueur voit à la troisième personne, la caméra se plaçant derrière ou autour des agents, que le joueur contrôle par l'intermédiaire d'une interface située à droite et au bas de l'écran. Les missions incluent diverses interactions avec le décor et avec les personnages. En dehors des missions, on peut aussi interagir avec les personnages et objets dans les différents étages de la Runciter, ce qui permet d'en savoir plus sur Joe Chip et ses associés.

Ubik utilise un graphisme à la Resident Evil : graphismes en 3D sur plan 2D fixe. Le jeu utilise des musiques CD pour accompagner l'action à l'écran, ainsi que des doublages français, et des effets sonores de bonne facture.

Pour contrôler jusqu'à 5 agents en même temps ce n'est pas si compliqué une fois qu'on s'est habitué aux contrôles. De plus, le jeu explique les commandes à chaque démarrage, et dans le manuel. Ce qui n'est pas expliqué, c'est que désactiver / activer la caméra automatique permet de se recentrer sur les personnages, ce qui n'est pas vraiment fait automatiquement.

Modérément bien reçu par la critique dans l'ensemble, Ubik a beaucoup de bons côtés. D'abord, il respecte bien l'oeuvre de P. K. Dick, et plus particulièrement son roman éponyme. Le jeu se paie le luxe d'avoir son manuel préfacé par Norman Spinrad, un auteur de science-fiction américain et ami de longue date de Philip K. Dick. Et bien que les graphismes soient dépassés, même pour l'époque (Quake 2 était sorti un an avant, The Nomad Soul à peine un an après), la direction artistique est cohérente. Il n'empêche que pour un jeu de 1997, ne pas avoir de compatibilité pour l'accélération graphique 3DFX, extrêmement populaire à l'époque, est étrange. Les musiques CD par Eric Los valent le détour (bien qu'elles soient souvent répétées par le jeu), et les dialogues de Johan Robson sont un plaisir à lire (il avait écrit auparavant ceux de Lost Eden, KGB, Atlantis, Kult, ...).
Maintenant, il faut bien se rendre compte que le jeu, en plus d'être difficile à faire fonctionner, a un gameplay qui ne tient pas la distance. Le concept d'avoir des agents avec des équipements et pouvoirs différents sonne bel et bien bon sur le papier. Mais le moindre combat se transforme en apocalypse. Même en facile, on aura de la chance si on n'a pas un agent qui reste bloqué dans un couloir, qui tire contre un mur, ou qui ne se fait pas tuer bêtement. Les doublages sont quant à eux joués de manière très peu convaincante. Le meilleur acteur, c'est le robot devant l'ascenseur Runciter, un comble ! Bref, si on a de la patience, le jeu a beaucoup à offrir. Beaucoup de background, de profondeur dans les missions (il faut gérer son budget, ses agents, ses équipements, les pouvoirs psys, ses informateurs, les objectifs...). En fin de compte, je vous dirai de l'essayer, surtout si vous êtes fan de l'oeuvre de Philip K. Dick. Si le jeu ne vous plaît pas, il y a pléthore de jeux cyberpunk concurrents de l'époque : Deus Ex, The Nomad Soul, Syndicate Wars, System Shock 2...

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