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Présentation: Pourrez-vous terminer la mission commencée il y a 1000 ans ?
L'histoire est assez simple. Vous incarnez la personne qui entre dans un sarcophage après mille ans d'inviolabilité. Un navire, ou plutôt un vaisseau qui ressemble à une nef, est entreposé là. Vous n'allez pas tarder à apercevoir la gardienne des lieux, Isis en personne, qui vous demande de réparer le vaisseau à l'aide de trois gemmes à retrouver et à placer au bon endroit. Isis, c'est aussi le nom de ce vaisseau extraterrestre, dont l'équipage a laissé des traces de son savoir: un testament de sa civilisation. Le temps est compté: un volcan, que l'on peut surveiller à partir d'une lunette présente sur le pont supérieur, est en train de se réveiller. L'Isis doit absolument voler avant que l'éruption n'éclate.
Le Gameplay : Un Point and Click et pis c'est tout !
Pour les familiers des Point and Click, et en particulier pour les fans de Myst, ce titre ne sera pas déroutant. 4 icones ornent votre écran: celui du haut permet de sauvegarder et/ou de charger une partie (vous ne disposez que de trois dossiers de sauvegarde). L'oeil du haut permet d'ouvrir l'inventaire, et l'oeil en dessous permet de prendre un objet dans l'inventaire. On ne peut prendre qu'un seul objet à la fois, et on ne dispose pas d'une vue d'ensemble pour apercevoir tous les objets présents dans l'inventaire. L'icone tout en bas permet de quitter le jeu. Les déplacements se font écran par écran, avec quelques trajets pré-calculés. Vous devez noter tout symbole, tout mécanisme, et la plupart des énigmes se résolvent en plaçant le bon objet au bon endroit. Peu à peu, les mécanismes de votre navire doivent se remettre en ordre, et Isis fait des apparitions pour vous guider, en Full Motion Video, selon le standard des jeux vidéo de la seconde moitié des années 90. Lorsqu'un objet doit être apporté, ou lorsqu'une manipulation particulière est attendue, une main apparaît à la place de votre curseur. Et lorsque vous collectez un objet, une petite musique se fait entendre. Vous l'avez compris, la prise en main est assez facile.
Quand un Myst-like devient un Advergame
L'équipe qui a développé le jeu se compose d'une dizaine de personnes autour de Brian Oliver, qui cumule la fonction de concepteur, directeur artistique et designer chargé de l'animation 3D. John Race, quant à lui, semble piloter le projet dont il est le scénariste. Mais le titre est de fort bonne qualité, si l'on prend le design et les animations. C'est un peu plus terne dans la conception des énigmes, et le scénario est plus un moyen détourné de faire la promotion de ce vieux groupe funk, Earth, Wind and Fire, qui brûle les planches depuis le début des années 1970. En réalité, le soft a été conçu comme un Advergame, mais le produit à vendre n'est ni une marque de biscuits chocolatés (James Pond 2), ni une marque de confiseries pour les teenagers (Hariboy's quest), ni un produit dont on a une énoooorme envie (Nesquik Games). C'est un jeu qui fait la promotion d'un Groupe de musique qui a connu son heure de gloire, et qui a cherché à trouver un nouveau souffle avec les nouvelles technologies. Un Advergame déguisé en somme.
Rock et jeux vidéo, une longue histoire
Entre le jeu vidéo et le rock, c'est une assez longue histoire, qui débute au début des années 1980. On peut comprendre que les producteurs aient été sensibles à ce média, très complémentaire avec les disques et les produits dérivés. Sur Abandonware France, plusieurs de ces titres conçus autour d'un groupe ou d'une star, sont d'ores et déjà disponibles avant l'arrivée d'Isis. Par exemple, vous avez The Blues Brothers et sa suite, chez l'inénarrable éditeur Titus. Mais d'autres titres sont également présents: Bad Day on the Midway, qui marque la deuxième participation du groupe The Residents, avec l'univers du jeu vidéo. Queen: the Eye, qui a connu un succès relatif, est conçu autour de la bande à Freddy Mercury. 9 : The Last Resort a également été produit avec deux membres du groupe Aerosmith. Nous n'oublierons pas enfin de mentionner The Nomad Soul, dont l'apparition de David Bowie dans un concert cyberpunk a été l'un des clous du jeu de cette fin des années 90. La liste des groupes qui ont tenté l'expérience du jeu dont ils sont les héros serait longue à écrire et à commenter. Nous nous limiterons ici à mettre en avant les Beatles, qui ont été parmi les premiers mis à l'honneur, en 1985, sur ZX Spectrum. C'est sur ce même support et à la même date que Franky goes to Hollywood a franchi le Rubicon avec un jeu d'arcade qui reprend ses principaux hits. En 1998, le phénomène des Boys Band n'échappe pas à la tentation vidéoludique. Ce sont les Spice Girls qui ont fait l'honneur de leur participation avec un jeu bien niais, qui a été édité sur Playstation. Et le Band Backstreet Boys leur a emboité le pas en 1999. Le métal n'a pas été oublié, avec des participations de groupes à des projets de jeux comme Iron Maiden (Ed Hunter), Kiss (Psychocircus) ou Motley Crüe.
Conclusion
Maurice White avait-il besoin de ce soft pour convaincre ses fans ? Les passionnés de Myst, noyés sous la nuée de clones qui inondaient les bacs des Fnacs et qui ornaient les catalogues de tous les éditeurs, pouvaient-ils adhérer à ce soft promotionnel à la gloire du groupe de Soul et de Funk ? Isis devait mettre en avant le génie d'un groupe qui porte le nom de trois éléments. Et au final, ce jeu n'aura déplacé qu'un peu de poussière soufflée par une brise légère. Isis n'a pas vraiment mis le feu, sauf peut-être à un fétu de paille. Il n'empêche, les graphismes sont beaux, les couleurs éclatantes font rêver et attisent la cuiosité. Une fois l'invraisemblance du scénario mise de côté, les amoureux de Myst, de Rhem ou d'Atlantis y trouveront du plaisir. Et c'est bien ce que l'on demande à un jeu, pas vrai ?
Lancement
Le jeu a été testé avec facilité sur Virtual PC + Windows 1998. N'a pas été testé sous Mac.
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L'histoire est assez simple. Vous incarnez la personne qui entre dans un sarcophage après mille ans d'inviolabilité. Un navire, ou plutôt un vaisseau qui ressemble à une nef, est entreposé là. Vous n'allez pas tarder à apercevoir la gardienne des lieux, Isis en personne, qui vous demande de réparer le vaisseau à l'aide de trois gemmes à retrouver et à placer au bon endroit. Isis, c'est aussi le nom de ce vaisseau extraterrestre, dont l'équipage a laissé des traces de son savoir: un testament de sa civilisation. Le temps est compté: un volcan, que l'on peut surveiller à partir d'une lunette présente sur le pont supérieur, est en train de se réveiller. L'Isis doit absolument voler avant que l'éruption n'éclate.

Pour les familiers des Point and Click, et en particulier pour les fans de Myst, ce titre ne sera pas déroutant. 4 icones ornent votre écran: celui du haut permet de sauvegarder et/ou de charger une partie (vous ne disposez que de trois dossiers de sauvegarde). L'oeil du haut permet d'ouvrir l'inventaire, et l'oeil en dessous permet de prendre un objet dans l'inventaire. On ne peut prendre qu'un seul objet à la fois, et on ne dispose pas d'une vue d'ensemble pour apercevoir tous les objets présents dans l'inventaire. L'icone tout en bas permet de quitter le jeu. Les déplacements se font écran par écran, avec quelques trajets pré-calculés. Vous devez noter tout symbole, tout mécanisme, et la plupart des énigmes se résolvent en plaçant le bon objet au bon endroit. Peu à peu, les mécanismes de votre navire doivent se remettre en ordre, et Isis fait des apparitions pour vous guider, en Full Motion Video, selon le standard des jeux vidéo de la seconde moitié des années 90. Lorsqu'un objet doit être apporté, ou lorsqu'une manipulation particulière est attendue, une main apparaît à la place de votre curseur. Et lorsque vous collectez un objet, une petite musique se fait entendre. Vous l'avez compris, la prise en main est assez facile.

L'équipe qui a développé le jeu se compose d'une dizaine de personnes autour de Brian Oliver, qui cumule la fonction de concepteur, directeur artistique et designer chargé de l'animation 3D. John Race, quant à lui, semble piloter le projet dont il est le scénariste. Mais le titre est de fort bonne qualité, si l'on prend le design et les animations. C'est un peu plus terne dans la conception des énigmes, et le scénario est plus un moyen détourné de faire la promotion de ce vieux groupe funk, Earth, Wind and Fire, qui brûle les planches depuis le début des années 1970. En réalité, le soft a été conçu comme un Advergame, mais le produit à vendre n'est ni une marque de biscuits chocolatés (James Pond 2), ni une marque de confiseries pour les teenagers (Hariboy's quest), ni un produit dont on a une énoooorme envie (Nesquik Games). C'est un jeu qui fait la promotion d'un Groupe de musique qui a connu son heure de gloire, et qui a cherché à trouver un nouveau souffle avec les nouvelles technologies. Un Advergame déguisé en somme.

Entre le jeu vidéo et le rock, c'est une assez longue histoire, qui débute au début des années 1980. On peut comprendre que les producteurs aient été sensibles à ce média, très complémentaire avec les disques et les produits dérivés. Sur Abandonware France, plusieurs de ces titres conçus autour d'un groupe ou d'une star, sont d'ores et déjà disponibles avant l'arrivée d'Isis. Par exemple, vous avez The Blues Brothers et sa suite, chez l'inénarrable éditeur Titus. Mais d'autres titres sont également présents: Bad Day on the Midway, qui marque la deuxième participation du groupe The Residents, avec l'univers du jeu vidéo. Queen: the Eye, qui a connu un succès relatif, est conçu autour de la bande à Freddy Mercury. 9 : The Last Resort a également été produit avec deux membres du groupe Aerosmith. Nous n'oublierons pas enfin de mentionner The Nomad Soul, dont l'apparition de David Bowie dans un concert cyberpunk a été l'un des clous du jeu de cette fin des années 90. La liste des groupes qui ont tenté l'expérience du jeu dont ils sont les héros serait longue à écrire et à commenter. Nous nous limiterons ici à mettre en avant les Beatles, qui ont été parmi les premiers mis à l'honneur, en 1985, sur ZX Spectrum. C'est sur ce même support et à la même date que Franky goes to Hollywood a franchi le Rubicon avec un jeu d'arcade qui reprend ses principaux hits. En 1998, le phénomène des Boys Band n'échappe pas à la tentation vidéoludique. Ce sont les Spice Girls qui ont fait l'honneur de leur participation avec un jeu bien niais, qui a été édité sur Playstation. Et le Band Backstreet Boys leur a emboité le pas en 1999. Le métal n'a pas été oublié, avec des participations de groupes à des projets de jeux comme Iron Maiden (Ed Hunter), Kiss (Psychocircus) ou Motley Crüe.

Maurice White avait-il besoin de ce soft pour convaincre ses fans ? Les passionnés de Myst, noyés sous la nuée de clones qui inondaient les bacs des Fnacs et qui ornaient les catalogues de tous les éditeurs, pouvaient-ils adhérer à ce soft promotionnel à la gloire du groupe de Soul et de Funk ? Isis devait mettre en avant le génie d'un groupe qui porte le nom de trois éléments. Et au final, ce jeu n'aura déplacé qu'un peu de poussière soufflée par une brise légère. Isis n'a pas vraiment mis le feu, sauf peut-être à un fétu de paille. Il n'empêche, les graphismes sont beaux, les couleurs éclatantes font rêver et attisent la cuiosité. Une fois l'invraisemblance du scénario mise de côté, les amoureux de Myst, de Rhem ou d'Atlantis y trouveront du plaisir. Et c'est bien ce que l'on demande à un jeu, pas vrai ?

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