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Rainbow Six : Rogue Spear
Série
Date de sortie
09/1999 (
)

Genre
Développement
Édition
Distribution en Europe
Distribution aux États-Unis
Systèmes






Multijoueurs



#1990 #adaptlivre #cdaudio #decors3dtext #equipe #infiltr #intervention #objets3dtext #scrollmulti #tactique #vuedos #vuesubj
Go Go Go !
Si vous avez joué au titre qui ouvre la saga Rainbow Six, la présentation qui suit n'éclairera pas beaucoup votre curiosité.
Rainbow Six, c'est un peu le fantasme des Américains sous la présidence de Clinton, au terme d'une guerre froide qui a fait naître un monde déstabilisé par la disparition de l'U.R.S.S. Désormais, le maître du Kremlin n'a plus les capacités d'empêcher ses amis dictateurs de jouer les caïds. Les Saddam Hussein, Rafsandjani et autres apparatchiks convertis en mafieux peuvent s'adonner aux joies du capitalisme, avec des trafics en tout genre boostés par une mondialisation sans freins.
Du coup, l'imagination de Tom Clancy peut esquisser cette organisation anti-terroriste financée par les Etas-Unis et l'O.N.U., le "Rainbow Six", et toutes les missions qui découlent de ce jeu sont des clins d'oeil à peine dissimulés à toute la géopolitique de 1998-2000. Les groupes armés tels que "l'avant-garde de l'Islam" ressemblent à Al Qaïda, et les milices de l'Europe de l'Est nous renvoient aux conflits du Kosovo, de Tchétchénie ou des tensions caucasiennes qui menacent la paix vers 2000.
Pour le reste, ce sont 18 missions, seul ou à plusieurs, en mode "facile" ou "Medium" voire "Difficile", qui vous conduisent du Musée de New York à la Sibérie, en passant par l'Opéra de Prague, dans les ruines fumantes d'une ville dévastée du Kosovo ou à l'aéroport de Bruxelles où se joue la survie d'un équipage et de passagers pris en otages. La plupart du temps, vous allez devoir libérer des otages et éliminer des terroristes, mais d'autres missions vous attendent, vous réservant un lot de surprises à déguster.
Un gameplay mitonné aux petits oignons !
Si vous avez déjà joué au premier opus, vous allez vite entrer dans ce jeu et en comprendre les mécanismes.
Si vous n'avez pas eu cette opportunité, il faudra apprendre à jouer à ce FPS tactique imprégné d'un zeste d'infiltration.
Après le générique de démarrage, vous atterrissez sur le menu général. Vous pouvez choisir entre la campagne en solo ou le jeu à plusieurs.
Vous pouvez courir vous entraîner, et apprendre à nettoyer une cache de terroristes, à tirer sur des cibles, à exfiltrer un otage... Bref, à tout ce qui vous attend au cours de vos missions.
Vous pouvez aussi revoir les paramètres du jeu en sélectionnant les options. Graphismes en haute résolution, effets météo, sang abondant ou images moins choquantes, vous allez pouvoir régler tous ces éléments, et bien d'autres encore !
C'est également dans ce menu général que vous pouvez revoir les vidéos des missions que vous avez enregistrées au préalable, et que vous pouvez agrémenter de commentaires.
Enfin, vous pouvez mémoriser les touches les plus utilisées de votre clavier (si, comme moi, vous jouez en mode clavier/souris plutôt que joystick).
Comme pour Rainbow Six, chaque mission débute par un briefing de John Clark, et vous apprenez les faits qui commandent votre venue, les personnalités en présence, les lieux, etc.
Puis vous acceptez de jouer avec le plan du QG ou pas, et vous composez votre effectif parmi une trentaine de commandos dont les profils diffèrent.
Vous allez choisir votre kit d'armement, et élaborer un plan d'attaque. Vous pouvez composer quatre équipes dont les couleurs et les noms permettent la mémorisation. A tout instant, un système d'aide intégrée permet de rajuster les étapes de la préparation de votre action, y compris en organisant les ordres et les modes d'action de vos équipes. De même, vous pouvez choisir un tireur d'élite / sniper en couverture. Bref, une vraie stratégie doit précéder les phases d'action proprement dites.
Quand vous commencez votre mission, vous ne disposez pas d'un temps limité, mais ce qui met fin à la mission, c'est de tuer un otage, ou de perdre toute son escouade.
Quand une mission est terminée, vous sauvegardez votre progression, d'une part pour pouvoir reprendre votre partie à la dernière mission inachevée, et surtout pour pouvoir recommencer cette mission en mode "Loup Solitaire" ou bien en "Chasse aux Terroristes".
Quand vous êtes en loup solitaire, vous traversez toute la carte sans pouvoir compter sur une force d'appoint. A chaque faux pas, c'est le game over assuré !
Et en chasse aux terroristes, vous disposez d'une équipe et vous ratissez une zone infestée d'ennemis.
En mode multijoueurs, d'autres cartes existent, et le mode coopératif vient s'ajouter au traditionnel "Capture the Flag".
Vous remarquerez que le jeu est très riche et contient beaucoup d'informations, de stratégie, de réflexion, ce qui ne peut l'assimiler à un jeu bourrin.
Dernier point : l'éditeur de carte, accessible dès la note de départ, est destinée à changer le nombre de terroristes dans une map, et de changer certains paramètres. Mais vous ne pouvez pas créer de nouvelles cartes avec cet éditeur.
Red Storm devient le label de référence
Lorsque Tom Clancy a fondé Red Storm Entertainment, en 1996, il s'agissait de prolonger l'expérience de ses romans sur le support prometteur qu'offrait l'informatique.
Rainbow Six avait précédé le roman, puisque le jeu avait servi de trame au roman éponyme que Tom avait écrit dans la foulée.
Le FPS était jusqu'alors dominé par des séries de légende comme Doom, Quake ou Duke Nukem 3D. L'ambition de Red Storm n'était pas de seulement jouer les trublions, mais de disputer carrément la suprématie de ce genre en le réinventant.
Rainbow Six est devenu un titre incontournable, mais qui ne faisait pas oublier les jeux de référence.
Avec cette suite, mise en oeuvre grâce à un scénario rédigé par Kevin Perry et Brian Upton, c'est une quarantaine de collaborateurs qui ont donné le meilleur d'eux-mêmes pour crever le plafond de l'ambition du studio.
Le résultat est époustouflant : Les graphismes sont soignés, les textures sont plus fines que jamais et le détail des pièces investies, des décors traversés, placent la barre très haut pour les studios de jeux vidéo. Le froid imprime la buée de la respiration de vos camarades de combat, les empreintes dans la neige sont de précieux indices pour dénicher vos ennemis ( et vous faire repérer aussi). Les cris des ennemis abattus attirent les autres adversaires...Tout est pensé et développé au millimètre.
La musique, composée, comme pour le premier opus par Bill Brown, habitué des compositions de commande pour les productions Hollywoodiennes, mais aussi pour des jeux comme Trespasser ou Quake 2, apporte son regain de tensions et d'excitation pour une immersion totale !
Enfin, L'IA, qui avait fait l'objet de critiques acerbes après le premier opus, elle a été remaniée et permet de relever le niveau des cartes. On pourra arguer que certains ennemis sont un peu passifs, ou que nos alliés ont tendance à rêvasser quand vous vous faîtes perforer le buffet, mais cela dépend de certaines phases de jeu.
Rogue Spear marque enfin le début de la carrière de Mathieu Ferland, qui chapeautera le projet de la série Splinter Cell en 2002, ainsi que le troisième opus de Rainbow Six : Rainbow Six 3 : Raven Shield.
Red Sorm Entertainment a largement réussi son pari : devenir la nouvelle usine à rêves de jeux de tir à la première personne, avec des séries qui marqueront les années 2000, à tout jamais : Rainbow Six, Splinter Cell, Ghost Recon ou The Sum of all Fears. Une tempête rouge-sang commence à déferler au tournant de l'an 2000. En 2017, ses sources ne sont toujours pas taries...
Conclusion
A la fin des années 1990, Doom, Duke Nukem ou Quake étaient les références absolues du FPS. Mais l'émergence du studio de Tom Clancy, Red Storm, avait permis à Rainbow Six de devenir la nouvelle pointure de ce genre. Avec cette suite, ses deux extensions et l'excellent épisode indépendant qui clôt Rogue Spear, l'équipe de développement perfectionne cette saga tout en apportant un zeste d'infiltration à la Metal Gear Solid.
Si vous êtes des mordus de Commandos, Hidden and Dangerous, Project I.G.I. ou Wolfenstein 3D, foncez tout droit sur la page de téléchargement de ce titre et jouissez : entre le mode solo, les missions supplémentaires, le multiplayer, le mode "loup solitaire", "infiltration" ou "chasse aux terroristes", des dizaines d'heures s'offrent à vous ! Go Go Go !
Un Abandonware d'Or pour ce monument du jeu vidéo qui ouvre les années 2000 ! Et un immense merci à Pyramide pour le jeu et ses trois extensions en français, ainsi que les scans, covers, notices. Un travail de fourmi pour le plus grand bonheur de la communauté abandonware !
Lancement
Rogue Spear était devenu injouable depuis l'arrivée de Windows XP. Utilisez la version automatique de The Uploader (comme indiqué sur la note d'information, désactivez ddrawCompat si le jeu ne se lance pas en mode automatique).
Si vous jouez sans la version automatique : pour les addons de 2000, mettez-le fichier SETUP.EXE en compatibilité XP et installez-le sur votre ordinateur. Les fichiers vont se placer dans la version principale à partir de laquelle vous pourrez jouer aux missions des addons. Mais pour jouer aux addons, il faudra monter l'image CD avec Daemon Tools, et lancer "Autorun.EXE" en mode compatibilité XP ou Win 98. Bon jeu !
Complétez cette fiche
Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
Dans ce cas, aidez-nous à améliorer cette fiche : en nous contactant via le forum.
Des questions ? besoin d'aide ?
Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

Si vous avez joué au titre qui ouvre la saga Rainbow Six, la présentation qui suit n'éclairera pas beaucoup votre curiosité.
Rainbow Six, c'est un peu le fantasme des Américains sous la présidence de Clinton, au terme d'une guerre froide qui a fait naître un monde déstabilisé par la disparition de l'U.R.S.S. Désormais, le maître du Kremlin n'a plus les capacités d'empêcher ses amis dictateurs de jouer les caïds. Les Saddam Hussein, Rafsandjani et autres apparatchiks convertis en mafieux peuvent s'adonner aux joies du capitalisme, avec des trafics en tout genre boostés par une mondialisation sans freins.
Du coup, l'imagination de Tom Clancy peut esquisser cette organisation anti-terroriste financée par les Etas-Unis et l'O.N.U., le "Rainbow Six", et toutes les missions qui découlent de ce jeu sont des clins d'oeil à peine dissimulés à toute la géopolitique de 1998-2000. Les groupes armés tels que "l'avant-garde de l'Islam" ressemblent à Al Qaïda, et les milices de l'Europe de l'Est nous renvoient aux conflits du Kosovo, de Tchétchénie ou des tensions caucasiennes qui menacent la paix vers 2000.
Pour le reste, ce sont 18 missions, seul ou à plusieurs, en mode "facile" ou "Medium" voire "Difficile", qui vous conduisent du Musée de New York à la Sibérie, en passant par l'Opéra de Prague, dans les ruines fumantes d'une ville dévastée du Kosovo ou à l'aéroport de Bruxelles où se joue la survie d'un équipage et de passagers pris en otages. La plupart du temps, vous allez devoir libérer des otages et éliminer des terroristes, mais d'autres missions vous attendent, vous réservant un lot de surprises à déguster.

Si vous avez déjà joué au premier opus, vous allez vite entrer dans ce jeu et en comprendre les mécanismes.
Si vous n'avez pas eu cette opportunité, il faudra apprendre à jouer à ce FPS tactique imprégné d'un zeste d'infiltration.
Après le générique de démarrage, vous atterrissez sur le menu général. Vous pouvez choisir entre la campagne en solo ou le jeu à plusieurs.
Vous pouvez courir vous entraîner, et apprendre à nettoyer une cache de terroristes, à tirer sur des cibles, à exfiltrer un otage... Bref, à tout ce qui vous attend au cours de vos missions.
Vous pouvez aussi revoir les paramètres du jeu en sélectionnant les options. Graphismes en haute résolution, effets météo, sang abondant ou images moins choquantes, vous allez pouvoir régler tous ces éléments, et bien d'autres encore !
C'est également dans ce menu général que vous pouvez revoir les vidéos des missions que vous avez enregistrées au préalable, et que vous pouvez agrémenter de commentaires.
Enfin, vous pouvez mémoriser les touches les plus utilisées de votre clavier (si, comme moi, vous jouez en mode clavier/souris plutôt que joystick).
- W : Avancer
- S : Reculer
Flèches directionnelles : Directions pour se déplacer - ENTREE : Ouvrir une porte
- Q : Coup d'oeil à gauche
- E : Coup d'oeil à droite
- Z : Recharger votre arme
- Touches numériques : Sélectionner vos armes et objets dans votre inventaire
- A : Un pas sur la gauche
- D : Un pas sur la droite
- C : S'accroupir
- ECHAP : Revenir à l'écran précédent, aller au menu.
- Clic droit souris : Tirer
Comme pour Rainbow Six, chaque mission débute par un briefing de John Clark, et vous apprenez les faits qui commandent votre venue, les personnalités en présence, les lieux, etc.
Puis vous acceptez de jouer avec le plan du QG ou pas, et vous composez votre effectif parmi une trentaine de commandos dont les profils diffèrent.
Vous allez choisir votre kit d'armement, et élaborer un plan d'attaque. Vous pouvez composer quatre équipes dont les couleurs et les noms permettent la mémorisation. A tout instant, un système d'aide intégrée permet de rajuster les étapes de la préparation de votre action, y compris en organisant les ordres et les modes d'action de vos équipes. De même, vous pouvez choisir un tireur d'élite / sniper en couverture. Bref, une vraie stratégie doit précéder les phases d'action proprement dites.
Quand vous commencez votre mission, vous ne disposez pas d'un temps limité, mais ce qui met fin à la mission, c'est de tuer un otage, ou de perdre toute son escouade.
Quand une mission est terminée, vous sauvegardez votre progression, d'une part pour pouvoir reprendre votre partie à la dernière mission inachevée, et surtout pour pouvoir recommencer cette mission en mode "Loup Solitaire" ou bien en "Chasse aux Terroristes".
Quand vous êtes en loup solitaire, vous traversez toute la carte sans pouvoir compter sur une force d'appoint. A chaque faux pas, c'est le game over assuré !
Et en chasse aux terroristes, vous disposez d'une équipe et vous ratissez une zone infestée d'ennemis.
En mode multijoueurs, d'autres cartes existent, et le mode coopératif vient s'ajouter au traditionnel "Capture the Flag".
Vous remarquerez que le jeu est très riche et contient beaucoup d'informations, de stratégie, de réflexion, ce qui ne peut l'assimiler à un jeu bourrin.
Dernier point : l'éditeur de carte, accessible dès la note de départ, est destinée à changer le nombre de terroristes dans une map, et de changer certains paramètres. Mais vous ne pouvez pas créer de nouvelles cartes avec cet éditeur.

Lorsque Tom Clancy a fondé Red Storm Entertainment, en 1996, il s'agissait de prolonger l'expérience de ses romans sur le support prometteur qu'offrait l'informatique.
Rainbow Six avait précédé le roman, puisque le jeu avait servi de trame au roman éponyme que Tom avait écrit dans la foulée.
Le FPS était jusqu'alors dominé par des séries de légende comme Doom, Quake ou Duke Nukem 3D. L'ambition de Red Storm n'était pas de seulement jouer les trublions, mais de disputer carrément la suprématie de ce genre en le réinventant.
Rainbow Six est devenu un titre incontournable, mais qui ne faisait pas oublier les jeux de référence.
Avec cette suite, mise en oeuvre grâce à un scénario rédigé par Kevin Perry et Brian Upton, c'est une quarantaine de collaborateurs qui ont donné le meilleur d'eux-mêmes pour crever le plafond de l'ambition du studio.
Le résultat est époustouflant : Les graphismes sont soignés, les textures sont plus fines que jamais et le détail des pièces investies, des décors traversés, placent la barre très haut pour les studios de jeux vidéo. Le froid imprime la buée de la respiration de vos camarades de combat, les empreintes dans la neige sont de précieux indices pour dénicher vos ennemis ( et vous faire repérer aussi). Les cris des ennemis abattus attirent les autres adversaires...Tout est pensé et développé au millimètre.
La musique, composée, comme pour le premier opus par Bill Brown, habitué des compositions de commande pour les productions Hollywoodiennes, mais aussi pour des jeux comme Trespasser ou Quake 2, apporte son regain de tensions et d'excitation pour une immersion totale !
Enfin, L'IA, qui avait fait l'objet de critiques acerbes après le premier opus, elle a été remaniée et permet de relever le niveau des cartes. On pourra arguer que certains ennemis sont un peu passifs, ou que nos alliés ont tendance à rêvasser quand vous vous faîtes perforer le buffet, mais cela dépend de certaines phases de jeu.
Rogue Spear marque enfin le début de la carrière de Mathieu Ferland, qui chapeautera le projet de la série Splinter Cell en 2002, ainsi que le troisième opus de Rainbow Six : Rainbow Six 3 : Raven Shield.
Red Sorm Entertainment a largement réussi son pari : devenir la nouvelle usine à rêves de jeux de tir à la première personne, avec des séries qui marqueront les années 2000, à tout jamais : Rainbow Six, Splinter Cell, Ghost Recon ou The Sum of all Fears. Une tempête rouge-sang commence à déferler au tournant de l'an 2000. En 2017, ses sources ne sont toujours pas taries...

A la fin des années 1990, Doom, Duke Nukem ou Quake étaient les références absolues du FPS. Mais l'émergence du studio de Tom Clancy, Red Storm, avait permis à Rainbow Six de devenir la nouvelle pointure de ce genre. Avec cette suite, ses deux extensions et l'excellent épisode indépendant qui clôt Rogue Spear, l'équipe de développement perfectionne cette saga tout en apportant un zeste d'infiltration à la Metal Gear Solid.
Si vous êtes des mordus de Commandos, Hidden and Dangerous, Project I.G.I. ou Wolfenstein 3D, foncez tout droit sur la page de téléchargement de ce titre et jouissez : entre le mode solo, les missions supplémentaires, le multiplayer, le mode "loup solitaire", "infiltration" ou "chasse aux terroristes", des dizaines d'heures s'offrent à vous ! Go Go Go !
Un Abandonware d'Or pour ce monument du jeu vidéo qui ouvre les années 2000 ! Et un immense merci à Pyramide pour le jeu et ses trois extensions en français, ainsi que les scans, covers, notices. Un travail de fourmi pour le plus grand bonheur de la communauté abandonware !

Rogue Spear était devenu injouable depuis l'arrivée de Windows XP. Utilisez la version automatique de The Uploader (comme indiqué sur la note d'information, désactivez ddrawCompat si le jeu ne se lance pas en mode automatique).
Si vous jouez sans la version automatique : pour les addons de 2000, mettez-le fichier SETUP.EXE en compatibilité XP et installez-le sur votre ordinateur. Les fichiers vont se placer dans la version principale à partir de laquelle vous pourrez jouer aux missions des addons. Mais pour jouer aux addons, il faudra monter l'image CD avec Daemon Tools, et lancer "Autorun.EXE" en mode compatibilité XP ou Win 98. Bon jeu !

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