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#decors3dtext #espace #objets3dtext #scrollmulti #sf #vaisseau #vuesubj
Les combats dans l'espace
Bienvenue dans Starlancer. Il s'agit d'un simulateur spatial orienté action où vous aurez à dézinguer des ennemis à la pelle pour mener à bien les objectifs de chacune de vos missions.
Scénario stéréotypé façon série B
Le scénario trahit vite son âge. Vous êtes dans le monde des mâââles, là où ça sent la sueur et l'odeur de la testostérone. Un cliché agaçant non ? Et pourtant... On croirait les grandes lignes de l'histoire tirées d'un film de guerre des années 80 avec les bons guerriers vertueux et les méchantes brutes maléfiques (comprendre les gentils américains et un peu d'alliés mais bon ils se font presque tous occire au début du jeu comme les français ! Et Évidemment les méchants soviétiques). Tu es une recrue de l'armée qui racle les fonds de tiroir. Pas grave ! Tu vas montrer à tout le monde de quel métal tu es fait. On est dans une ambiance à la Top Gun ou encore le maître de Guerre de Clint Eastwood. Bon, je m'arrêterai là mais disons que se faire traiter de tous les noms quand on n'arrive pas assez vite sur zone ou que l'on répond pas aux ordres, c'est comment dire... une autre époque.
Alors le scénario ? Vous démarrez alors qu'une promesse de paix entre russes d'une part et alliés (dominés par les américains d'autre part) doit se concrétiser. Hélas, les chefs russes en ont décidé autrement et préparent un Pearl Harbour de l'espace. Grâce à leur flotte occultée, ils vont mener une attaque surprise et détruire la quasi-totalité de la flotte ennemie. Il vous faudra 24 missions pour renverser la tendance.
Vous démarrez alors que l'alliance a décidé de prendre tous ceux qui savent piloter pour combler les pertes subies. Une fois une longue cinématique bien alléchante passée, vous arrivez à votre couchette. Plusieurs options s'offrent à vous : entrainement au simulateur (mais bon on a la première mission pour cela), regarder ses médailles (ça bugge), regarder les nouvelles (le conflit change après chaque mission) et aller au briefing pour passer à la prochaine étape du jeu.
Le tout est particulièrement scripté. En clair, si vous ratez des missions, cela ne vous empêchera pas de mener à bien l'assaut final avec le même nombre de vaisseaux contre la base ennemie que si vous aviez super bien réussi vos missions... A croire que l'alliance qui avait pourtant peu de ressources a finalement eu un paquet de recrues et de vaisseaux. Ok mais à quoi on sert alors ?
Ce que j'essaie de souligner à travers ce ton narquois est le caractère beaucoup trop linéaire et stéréotypé du scénario (à bien des niveaux). On aime ou pas mais c'était acceptable pour l'époque.
Beaux graphismes et inspiration SF
Ce qui frappe à chaque fois dans les logiciels des frères Roberts, c'est la beauté des graphismes et leur ambiance. Comme avant dans la série des Wing Commander et plus tard avec Freelancer, le jeu est somptueux avec des effets de lumières. Le logiciel démarre dans la région de Neptune et le soleil n'est qu'une pâle boule de feu à l'horizon offrant une lumière faiblarde. C'est dans dans cet environnement crépusculaire qui colle bien au scénario de fin du monde que nous allons évoluer. L'inspiration se nourrit de plusieurs classiques de la SF et surtout des plus connus : les pilotes courant dans les couloirs rappellent ceux de l'étoile de la mort dans Star Wars et les nouvelles sont à relier à Starship Troopers (le second degré en moins) et les combats de la série Space 2063. Au-delà des graphismes, mention spéciale pour les sons et la bande sonore, qui ajoutent un sentiment d'immersion particulièrement bienvenu... Tout du moins au début, car c'est malheureusement une habitude dans les jeux estampillés Roberts, cela tourne vite à l'ennui en raison d'une répétition lassante.
Joystick fortement conseillé
La jouabilité en laissera plus d'un pantois. Il n'y a pas de couplage clavier/souris comme dans Freelancer par exemple. Ce sera soit le clavier soit le joystick. Et au rayon du choix, il n'y en a pas vraiment car les missions au clavier ne sont pas toujours évidentes. Il vaudra mieux dans ce cas-là paramétrer vous même les touches. Il suffit pour cela d'appuyer sur 'Echap' et vous aurez accès au menu. Le plus simple est encore d'utiliser le joystick pour bien suivre vos cibles en mouvement, mais comme je n'en avais pas, j'ai bien galéré...
Des missions comme attendues
Dans Starlancer, les missions sont exactement celles que l'on peut attendre de ce type de jeu. Vous aurez droit à des missions de pure destruction (les plus faciles), de couverture (il vous faudra protéger des convois par exemple)... Des vaisseaux différents vous sont proposés et évoluent au fil de vos succès : tirs rapides ou missiles sont les bases de votre puissance de feu. Toutefois, aucun paramétrage n'est à attendre du jeu à la différence de [jeu_3408,Freelancer.
Fait pour les vétérans, Fait fuir les novices
Beau, immersif mais doté d'un scénario plus que caricatural, le constat est en demi-teinte. Il séduira immédiatement une partie des joueurs qui plongeront volontiers dans une ambiance survitaminée. Néanmoins, un gameplay assez difficile (en l'absence de joystick) et un manque de sentiment de peser sur l'histoire (tout se poursuit selon le script même en cas de résultats moyens) laisseront plus d'une personne insatisfaite.
Avis
Starlancer est un bon simulateur de combat dans l'espace. Orienté action, il a connu un succès mesuré à sa sortie. Il s'est écoulé à 400 000 copies, en deçà des attentes. Les critiques n'ont pas toutes été élogieuses et 20 ans plus tard, l'indulgence n'est toujours pas de mise. Le scénario et le gameplay étaient perfectibles pour permettre un meilleur sentiment d'immersion. Ceci sera partiellement corrigé dans Freelancer, sa suite.
Fonctionnement
L'équipe a préparé une version automatique dont la simplicité tient en trois mots : téléchargez, installez, jouez. Bonne découverte !
Des bugs
Quelques bugs notables sont à signaler engendrant un retour au bureau... Essayez donc de regarder vos médailles par exemple et vous verrez de quoi je parle... Frustrant !
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Vous avez des screenshots, un avis personnel, des fichiers que nous ne possédons pas et qui concernent ce jeu ? Vous avez remarqué une erreur dans nos textes ?
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Vous pouvez trouver de nombreuses informations et vous pourrez poser des questions à la communauté en allant sur notre forum : Abandonware Forums.

Bienvenue dans Starlancer. Il s'agit d'un simulateur spatial orienté action où vous aurez à dézinguer des ennemis à la pelle pour mener à bien les objectifs de chacune de vos missions.

Le scénario trahit vite son âge. Vous êtes dans le monde des mâââles, là où ça sent la sueur et l'odeur de la testostérone. Un cliché agaçant non ? Et pourtant... On croirait les grandes lignes de l'histoire tirées d'un film de guerre des années 80 avec les bons guerriers vertueux et les méchantes brutes maléfiques (comprendre les gentils américains et un peu d'alliés mais bon ils se font presque tous occire au début du jeu comme les français ! Et Évidemment les méchants soviétiques). Tu es une recrue de l'armée qui racle les fonds de tiroir. Pas grave ! Tu vas montrer à tout le monde de quel métal tu es fait. On est dans une ambiance à la Top Gun ou encore le maître de Guerre de Clint Eastwood. Bon, je m'arrêterai là mais disons que se faire traiter de tous les noms quand on n'arrive pas assez vite sur zone ou que l'on répond pas aux ordres, c'est comment dire... une autre époque.
Alors le scénario ? Vous démarrez alors qu'une promesse de paix entre russes d'une part et alliés (dominés par les américains d'autre part) doit se concrétiser. Hélas, les chefs russes en ont décidé autrement et préparent un Pearl Harbour de l'espace. Grâce à leur flotte occultée, ils vont mener une attaque surprise et détruire la quasi-totalité de la flotte ennemie. Il vous faudra 24 missions pour renverser la tendance.
Vous démarrez alors que l'alliance a décidé de prendre tous ceux qui savent piloter pour combler les pertes subies. Une fois une longue cinématique bien alléchante passée, vous arrivez à votre couchette. Plusieurs options s'offrent à vous : entrainement au simulateur (mais bon on a la première mission pour cela), regarder ses médailles (ça bugge), regarder les nouvelles (le conflit change après chaque mission) et aller au briefing pour passer à la prochaine étape du jeu.
Le tout est particulièrement scripté. En clair, si vous ratez des missions, cela ne vous empêchera pas de mener à bien l'assaut final avec le même nombre de vaisseaux contre la base ennemie que si vous aviez super bien réussi vos missions... A croire que l'alliance qui avait pourtant peu de ressources a finalement eu un paquet de recrues et de vaisseaux. Ok mais à quoi on sert alors ?
Ce que j'essaie de souligner à travers ce ton narquois est le caractère beaucoup trop linéaire et stéréotypé du scénario (à bien des niveaux). On aime ou pas mais c'était acceptable pour l'époque.

Ce qui frappe à chaque fois dans les logiciels des frères Roberts, c'est la beauté des graphismes et leur ambiance. Comme avant dans la série des Wing Commander et plus tard avec Freelancer, le jeu est somptueux avec des effets de lumières. Le logiciel démarre dans la région de Neptune et le soleil n'est qu'une pâle boule de feu à l'horizon offrant une lumière faiblarde. C'est dans dans cet environnement crépusculaire qui colle bien au scénario de fin du monde que nous allons évoluer. L'inspiration se nourrit de plusieurs classiques de la SF et surtout des plus connus : les pilotes courant dans les couloirs rappellent ceux de l'étoile de la mort dans Star Wars et les nouvelles sont à relier à Starship Troopers (le second degré en moins) et les combats de la série Space 2063. Au-delà des graphismes, mention spéciale pour les sons et la bande sonore, qui ajoutent un sentiment d'immersion particulièrement bienvenu... Tout du moins au début, car c'est malheureusement une habitude dans les jeux estampillés Roberts, cela tourne vite à l'ennui en raison d'une répétition lassante.

La jouabilité en laissera plus d'un pantois. Il n'y a pas de couplage clavier/souris comme dans Freelancer par exemple. Ce sera soit le clavier soit le joystick. Et au rayon du choix, il n'y en a pas vraiment car les missions au clavier ne sont pas toujours évidentes. Il vaudra mieux dans ce cas-là paramétrer vous même les touches. Il suffit pour cela d'appuyer sur 'Echap' et vous aurez accès au menu. Le plus simple est encore d'utiliser le joystick pour bien suivre vos cibles en mouvement, mais comme je n'en avais pas, j'ai bien galéré...

Dans Starlancer, les missions sont exactement celles que l'on peut attendre de ce type de jeu. Vous aurez droit à des missions de pure destruction (les plus faciles), de couverture (il vous faudra protéger des convois par exemple)... Des vaisseaux différents vous sont proposés et évoluent au fil de vos succès : tirs rapides ou missiles sont les bases de votre puissance de feu. Toutefois, aucun paramétrage n'est à attendre du jeu à la différence de [jeu_3408,Freelancer.

Beau, immersif mais doté d'un scénario plus que caricatural, le constat est en demi-teinte. Il séduira immédiatement une partie des joueurs qui plongeront volontiers dans une ambiance survitaminée. Néanmoins, un gameplay assez difficile (en l'absence de joystick) et un manque de sentiment de peser sur l'histoire (tout se poursuit selon le script même en cas de résultats moyens) laisseront plus d'une personne insatisfaite.

Starlancer est un bon simulateur de combat dans l'espace. Orienté action, il a connu un succès mesuré à sa sortie. Il s'est écoulé à 400 000 copies, en deçà des attentes. Les critiques n'ont pas toutes été élogieuses et 20 ans plus tard, l'indulgence n'est toujours pas de mise. Le scénario et le gameplay étaient perfectibles pour permettre un meilleur sentiment d'immersion. Ceci sera partiellement corrigé dans Freelancer, sa suite.

L'équipe a préparé une version automatique dont la simplicité tient en trois mots : téléchargez, installez, jouez. Bonne découverte !

Quelques bugs notables sont à signaler engendrant un retour au bureau... Essayez donc de regarder vos médailles par exemple et vous verrez de quoi je parle... Frustrant !

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