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#creatperso #curseur #decors2dbitmap #equipe #fantasy #femme #objets2dbitmap #vuesubj
Conçu et distribué en 1995 par David Allen, Mordor est un jeu de rôle, plus exactement un dungeon crawler fonctionnant sous Windows. Malgré son nom, Mordor n'a rien à voir avec le Seigneur des Anneaux ni, plus généralement, avec l'oeuvre de Tolkien, il provient d'un jeu de rôle multijoueurs nommé "Avatar" qui tournait sur le système "Plato", un ancêtre d'Internet né en 1960.
"Moi vois, moi tue", Kenya la barbare
Mordor représente fidèlement le jeu de rôle type "porte-monstre-trésor", vous déambulez à travers un donjon de 15 étages, ouvrez des portes, tuez des monstres (du moins, vous essayez) et récoltez des trésors et des points d'expérience. Très peu d'énigmes jalonneront votre parcours, à part quelques téléporteurs. Votre but est donc de vous enfoncer de plus en plus profondément dans le donjon au fil des personnages créés. Prévoyez quelques centaines d'heures !
"De l'or, de l'or", Rabougrim le nain
Après avoir lancé le jeu, vous atteignez un premier écran sur lequel vous entamez la création de votre personnage en commençant par son nom et sa race. Le choix de celle-ci déterminera en partie votre personnage en lui donnant des valeurs de base dans ses caractéristiques (force, intelligence, sagesse, constitution, charisme et dextérité comme dans tout bon jeu de rôle !) mais aussi l'évaluation de sa longévité et un choix d'alignement ainsi qu'une liste de guildes prêtes à l'accueillir.
Pour terminer, vous sauvegardez votre personnage et vous lui attribuez un mot de passe. Une fois correctement vêtu et armé, il ne vous restera plus qu'à entrer dans le donjon. Grâce à ce système de mot de passe, plusieurs joueurs peuvent parcourir les couloirs sombres des profondeurs de Dejenol et comparer leur avancement.
Pour ne pas partir seul vers une mort certaine, n'hésitez pas à enrôler jusque trois compagnons supplémentaires. Vos aventuriers morts au combat seront entreposés à la morgue attendant paisiblement leur résurrection contre un très gros tas d'or. Heureusement, dans les premiers niveaux, votre guilde vous offre la réanimation de votre avatar ! Attention, aucune sauvegarde, le jeu conserve votre progression et c'est tout. Un bon point, la carte est construite au fur et à mesure de votre avancée afin de vous empêcher de vous ruiner en crayons à papier et en feuilles à petits carreaux !
Ces éléments résument les grandes lignes du jeu, car Mordor est complexe, difficile et, certainement, un peu aride, à réserver aux plus obstinés des coureurs de donjon !
"MMMhhhh...", Stridal le barde (baillonné)
Le programme utilise le système des fenêtres de Windows pour afficher de nombreuses données. Parmi plusieurs tableaux regroupant les modalités de votre personnage, la fenêtre de jeu proprement dite est assez petite, elle comporte d'une part une vue claire mais basique de l'environnement, d'autre part les lieux de vos rencontres avec les monstres qui sont grossièrement dessinés. Une ligne de commandes assez sibyllines complète l'affichage. La touche "take" permet par exemple de monter ou descendre les escaliers. Le jeu est entièrement en anglais, d'un accès assez simple toutefois car le texte à comprendre se réduit aux commandes et à quelques phrases génériques. La musique omniprésente est sympathique, mais rapidement répétitive.
"Wokety pokety wokety wok", Herman le sorcier
Les amateurs de dungeon crawler ont un site de référence : dungeon crawler où sont répertoriés des dizaines de jeux de rôle soigneusement décrits, malheureusement pour la plupart en anglais. Pour les amateurs de la belle époque, Indy Retro News propose tout un ensemble de rpg sur Amiga prêts à être lancés sans difficulté particulière, c'est ici . Pour ceux qui souhaitent quelque chose de plus récent, Legend of Grimrock 1 et 2 reprennent la meilleure tradition des dungeon crawlers à la "Dungeon master", disponible sur Steam.
Comme Mordor est toujours en vente ici, nous vous proposons la version shareware du jeu qui permet de parcourir quelques niveaux et vous tiendra occupé quelques heures. Cette version fonctionne très bien avec DOSBox + Windows 3.1 que l'on peut trouver ici.
Fabrice Debaque

Mordor représente fidèlement le jeu de rôle type "porte-monstre-trésor", vous déambulez à travers un donjon de 15 étages, ouvrez des portes, tuez des monstres (du moins, vous essayez) et récoltez des trésors et des points d'expérience. Très peu d'énigmes jalonneront votre parcours, à part quelques téléporteurs. Votre but est donc de vous enfoncer de plus en plus profondément dans le donjon au fil des personnages créés. Prévoyez quelques centaines d'heures !

Après avoir lancé le jeu, vous atteignez un premier écran sur lequel vous entamez la création de votre personnage en commençant par son nom et sa race. Le choix de celle-ci déterminera en partie votre personnage en lui donnant des valeurs de base dans ses caractéristiques (force, intelligence, sagesse, constitution, charisme et dextérité comme dans tout bon jeu de rôle !) mais aussi l'évaluation de sa longévité et un choix d'alignement ainsi qu'une liste de guildes prêtes à l'accueillir.
Pour terminer, vous sauvegardez votre personnage et vous lui attribuez un mot de passe. Une fois correctement vêtu et armé, il ne vous restera plus qu'à entrer dans le donjon. Grâce à ce système de mot de passe, plusieurs joueurs peuvent parcourir les couloirs sombres des profondeurs de Dejenol et comparer leur avancement.
Pour ne pas partir seul vers une mort certaine, n'hésitez pas à enrôler jusque trois compagnons supplémentaires. Vos aventuriers morts au combat seront entreposés à la morgue attendant paisiblement leur résurrection contre un très gros tas d'or. Heureusement, dans les premiers niveaux, votre guilde vous offre la réanimation de votre avatar ! Attention, aucune sauvegarde, le jeu conserve votre progression et c'est tout. Un bon point, la carte est construite au fur et à mesure de votre avancée afin de vous empêcher de vous ruiner en crayons à papier et en feuilles à petits carreaux !
Ces éléments résument les grandes lignes du jeu, car Mordor est complexe, difficile et, certainement, un peu aride, à réserver aux plus obstinés des coureurs de donjon !

Le programme utilise le système des fenêtres de Windows pour afficher de nombreuses données. Parmi plusieurs tableaux regroupant les modalités de votre personnage, la fenêtre de jeu proprement dite est assez petite, elle comporte d'une part une vue claire mais basique de l'environnement, d'autre part les lieux de vos rencontres avec les monstres qui sont grossièrement dessinés. Une ligne de commandes assez sibyllines complète l'affichage. La touche "take" permet par exemple de monter ou descendre les escaliers. Le jeu est entièrement en anglais, d'un accès assez simple toutefois car le texte à comprendre se réduit aux commandes et à quelques phrases génériques. La musique omniprésente est sympathique, mais rapidement répétitive.

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