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XIII est une bande-dessinée belge francophone, scénarisée par Jean Van Hamme et dessinée par William Vance, parue depuis 1984 aux éditions Dargaud et comptant 19 tomes pour le premier cycle. Thriller d‘espionnage se déroulant aux États-Unis à une époque contemporaine, la série suit la trace de Steve Rowland, alias numéro XIII, mercenaire retrouvé inconscient et amnésique sur une plage, dans sa quête pour retrouver son identité et s’innocenter des accusations de meurtre qui pèsent contre lui, ce dernier étant le suspect numéro un dans l’affaire de l’assassinat du président des États-Unis, William Sheridan.
Bande-dessinée à succès reconnue dans son genre depuis sa création, les différents tomes se sont vendus à plusieurs centaines de milliers d’exemplaires chacun, et ce succès a logiquement amené la série à être adaptée en divers produits dérivés, tels qu’une série télévisée, un jeu de société, et bien évidemment des jeux-vidéos. Après un premier titre d’énigmes et d’enquête paru en 1997 sur PC (Le Mystère XIII) , la seconde adaptation vidéoludique, bien plus célèbre, est un FPS en cel-shading paru en 2003 sur cette même plateforme, développé et édité par Ubisoft. Basée sur les cinq premiers tomes de l’œuvre originale, cette nouvelle aventure propose au joueur d’incarner numéro XIII dans sa quête d‘identité et de vengeance, avec toutefois quelques libertés prises par rapport au support d’origine.
Ainsi, le joueur, sous les traits de numéro XIII, sera ici amené à accomplir différentes missions en Amérique du Nord, et, pour ce faire, à manier différentes armes plus ou moins efficaces. Le jeu se partage entre phases d‘action et phases d’infiltration, avec des objectifs à remplir, tels que récupérer des documents ou escorter des personnages, avant d’alterner sur des combats de boss afin de vaincre les conspirateurs qui souhaitent la disparition de Rowland. FPS assez novateur avec un style graphique unique proche de la bédé et une histoire de polar sombre et captivante, le titre a plutôt marqué à l’époque, et a connu un succès assez important. Mais qu’en est-il réellement ? Éloges méritées ou bien énième jeu de tir générique symptomatique de cette période sur PC ? C’est donc parti pour le test de XIII, le jeu-vidéo.

L’aventure commence alors qu’un homme reprend ses esprits sur une plage, et est secouru par une sauveteuse en mer. Totalement amnésique et ayant encaissé plusieurs balles, ce dernier ne se souvient même pas de son nom, et n’a que pour seuls indices le numéro XIII tatoué sur son torse et une clé ouvrant un coffre à la banque. Rapidement poursuivi par les hommes qui lui ont infligé ses blessures dans un premier lieu, ce dernier, qui se fera ensuite appeler Steve Rowland (ou est-ce bien lui ?), prend la fuite et décide de se rendre à New-York afin d’accéder au coffre dont il possède la clé. Une fois en possession de la mallette du coffre, XIII est arrêté par le colonel Amos, chef du contre-espionnage au FBI, qui l’accuse d’avoir assassiné le président démocrate des États-Unis, William Sheridan, quelques semaines plus tôt.
Secouru par une jeune militaire répondant au nom de major Jones, Rowland en apprend ensuite un peu plus sur les événements. Il existe en effet une conspiration de politiciens, de militaires et d’industriels, appelée la Conspiration des XX, car ils sont vingt à se cacher derrière des numéros pour masquer leur véritable identité, qui a fait assassiner le président et qui cherche à réaliser un coup d’état lors d’un exercice militaire afin d’instaurer une dictature fasciste aux États-Unis. L’auteur du tir mortel sur Sheridan est en fait le véritable Steve Rowland, numéro XIII de la conspiration, le protagoniste étant quant-à-lui un mercenaire répondant au nom de Jason Fly, engagé par le major Jones et par son supérieur, le général Carrington, afin d’enquêter sur l’assassinat du président.
Après cet événement tragique, la Conspiration des XX a fait abattre le véritable numéro XIII par un tueur à gages, un homme se faisant appeler la mangouste, afin d’effacer les traces de ses actes, et Carrington en a profité pour engager Fly afin que ce dernier fasse de la chirurgie esthétique et se fasse passer pour Rowland afin de mener l’enquête.
L’histoire s’articule alors autour de plusieurs axes, Fly devant traquer les conspirateurs afin de prouver leur culpabilité (et donc son innocence), tout en déjouant le coup d’état imminent que ces derniers réservent au pays. Ce faisant, des flash-backs réguliers lui rafraîchiront la mémoire et lui permettront de se souvenir de sa véritable identité, ainsi que de l’identité de Numéro I, découverte juste avant son amnésie. Enfin, Fly devra aussi composer avec la mangouste, qui le traque sans relâche pour l’éliminer, et avec le FBI dirigé par le colonel Amos, convaincus par sa culpabilité dans l’assassinat du président. Après l’introduction sur la plage, le protagoniste sera ainsi amené à voyager à New-York, puis par les montagnes Appalaches, le Grand Canyon, la jungle du Mexique, un sous-marin nucléaire, un port industriel, de nouveau à New-York, dans une abbaye située sur la côte du New Jersey, et afin dans une base militaire, théâtre central du coup d’état en préparation par les conspirateurs.
Au cours de cette épopée, XIII sera amené à manier différentes armes, tels que des couteaux de lancer, des pistolets, des mitrailleuses, des fusils à pompe, des fusils d’assaut, un sniper, une arbalète, un harpon, un lance-roquettes, et divers explosifs. En plus des armes traditionnelles, il sera également possible d’utiliser certains éléments du décor afin d’assommer des gardes dans leur dos, tels que des chaises, des balais ou encore des bouteilles. Il sera même possible de prendre des civils en otage afin que les ennemis ne nous tirent pas dessus, civils qui ne doivent également pas être tués par XIII au cours de ses missions. Enfin, Fly aura à sa disposition plusieurs gadgets lui permettant de progresser dans les différents lieux où il s’infiltre, tels qu’un grappin, un rossignol pour crocheter les serrures, une antenne pour capter les conversations lointaines, ou encore bien évidemment des trousses de soin pour récupérer de la vie après avoir essuyé des tirs ennemis.
Comme évoqué précédemment, l’aventure s’articule autour de phases d’action et de phases d’infiltration, avec à chaque fois des objectifs à remplir tels que rétablir le courant dans un bâtiment, escorter un allié dans une base ennemie, ne pas se faire repérer ou déclencher l’alarme, épargner les GIs et les hommes du FBI, ou encore récupérer des documents et des cartes magnétiques afin de progresser dans le niveau. Vers la moitié de l’aventure, XIII sera également confronté aux premiers membres de la Conspiration des XX, qu’il faudra éliminer sous la forme de combats de boss. En supprimant les conspirateurs un à un, Fly sera ainsi capable de remonter la trace de Numéro I, avant de finalement révéler son identité, point final de ce polar qui se termine ainsi sur un cliffhanger, le jeu appelant de cette manière à une suite qui ne viendra finalement jamais...
Au global, XIII le jeu est un FPS qui repose énormément sur son histoire et sur son ambiance, tirées de la bande-dessinée d’origine. Certes, si l’adaptation vidéoludique doit énormément à l’œuvre originale, force est de constater que le portage sur petit écran est réussi et parvient fidèlement à suivre un scénario captivant et à reproduire une ambiance de polar n’ayant pas grand-chose à envier aux plus grands films du genre. L’histoire se suit avec intérêt, les missions sont prenantes, les destinations variées, et les différents personnages suscitent l’intérêt par leur personnalité ou par leurs motivations. C’est donc une excellente aventure que nous propose le titre d’Ubisoft, réussissant fidèlement à retranscrire l’esprit de la bande-dessinée.

Autre particularité de ce titre, les visuels sont intégralement rendus en cel-shading, afin de se rapprocher au mieux du rendu "bédé" à l’écran. Graphiquement, XIII est donc tout en dessins pastels, à contre-pied des autres productions de l’époque qui faisaient la course au photo-réalisme là où les progrès techniques rendaient les jeux de plus en plus beaux d’année en année. Résultat, XIII n’est probablement pas le FPS le plus abouti graphiquement, mais propose une réalisation et une direction artistique uniques qui rendent honneur au matériau d’origine. De plus, les différentes destinations visitées sont toutes bien marquées visuellement, avec des lieux très caractéristiques et uniques dans leur conception. Mention spéciale au Sanctuaire, l’abbaye que XIII visite au coucher de Soleil vers la fin de l’aventure, et qui propose une ambiance sublime et tamisée au cœur de la Conspiration des XX.
En plus de ses graphismes uniques et attrayants, XIII fait la part belle aux cases de bandes-dessinées, qui apparaissent régulièrement à l’écran dans un coin afin de nous montrer un élément ou un ennemi sur lequel le jeu veut attirer notre attention. Ainsi, lors des phases d’infiltration, les ennemis critiques sont affichés sur une partie de l’écran tandis que le joueur progresse sur l’autre, rendant la tâche plus aisée. De même, des cases apparaissent lorsque le joueur élimine un ennemi d’un tir à la tête, à la manière des killcams qui fleuriront quelques années plus tard. Il y a également de nombreuses onomatopées affichées à l’écran, nouveau clin d’œil à la bande-dessinée, par exemple lorsque XIII se fait repérer, ou lorsqu’il élimine discrètement un garde, lorsqu’une alarme se déclenche, ou lorsqu’une porte claque. Même les menus font honneur au 9e art, puisque les différentes rubriques sont présentées sous la forme de cases de bandes-dessinées.
Côté musiques, on retrouve ici une bande-son originale très cinéma, avec des titres groovy inspirés des longs-métrages d’espionnage d’il y a quelques décennies. À noter que la musique est systémique, c’est-à-dire qu’elle est calme dans les moments d’infiltration et de dialogues, mais qu’elle accélère automatiquement lors des phases d’action ou bien quand XIII est repéré par les ennemis. Concernant les bruitages, ces derniers sont de bonne qualité, avec notamment des sons de coups de feux bien claquants et des recharges d’arme ou des bris de glace bien marqués. Mention spéciale au bruit que font les chaises et les balais lorsqu’on les abat sur les ennemis dans leur dos, rendant l’impact tout aussi douloureux qui si l’on se faisait frapper soi-même.
Enfin, concernant le doublage, celui-ci est également de très bonne facture, avec d’excellents acteurs en français tels que Daniel Beretta dans le rôle de XIII, ou bien l’immense Gilbert Lévy dans les rôles de Amos et de Numéro XX. La version anglophone n’est pas en reste non plus, avec des noms comme David Duchovny et Adam West inscrits au générique de fin. Au global, que ce soit visuellement ou auditivement, XIII est un titre très marqué et plutôt réussi, qui a su se démarquer de ses concurrents pour avoir une identité propre, malgré les quelques bavures à l’écran inhérentes aux dessins en cel-shading.

Clavier et souris en main, XIII est un FPS tout à fait classique, qui cette fois-ci ne déroge pas aux règles de la concurrence. Le joueur peut sans trop de difficultés courir, viser, tirer, changer d’arme, sauter ou encore utiliser les gadgets et les trousses de soins. Les différentes armes ont ici un comportement qui se veut plutôt réaliste, avec un recul très marqué et une précision fortement diminuée à grande distance, ce qui rend la tâche assez difficile au joueur si ce dernier n’a pas de sniper ou d’arbalète dans son inventaire. De plus, le bruit des armes est important, puisque nombre d’entre-elles ne devront pas être utilisées dans les phases d’infiltration, sous peine que les ennemis n’entendent et ne déclenchent l’alarme.
Côté gadgets, force est de constater que ces derniers ne sont pas là à foison, et que leur utilisation est au final très limitée à certaines phases de l’aventure, au contraire d’un No One Lives Forever ou d’un 007 Nightfire qui en possédaient beaucoup plus et qui rendaient leur utilisation presque centrale dans la progression de l’histoire. À part quelques promontoires à accrocher avec le grappin et quelques portes à crocheter avec le rossignol, c’est majoritairement l’arme à la main que Fly va devoir progresser, ce qui est assez dommage dans un FPS d’espionnage.
D’autre part, l’aventure est assez linéaire, avec un chemin tout tracé pour parvenir à son objectif, sans véritablement de ramifications ou de zones plus ouvertes pour laisser un peu la place à l’exploration et l’expérimentation, là encore au contraire de No One Lives Forever 2, sorti un an plus tôt, et qui alternait entre niveaux linéaires et niveaux ouverts. Il en résulte qu’il n’y a finalement qu’une seule manière de faire le jeu, et que lorsque le générique de fin apparaît, il n’y a pas vraiment de raison vis-à-vis du gameplay de s’y replonger, si ce n’est de profiter de l’histoire à nouveau.
Côté difficulté, XIII propose quatre niveaux de challenge auxquels se frotter, à savoir facile, normal, difficile et ‘’XXX’’. Ce test a été réalisé en difficulté normale, et il s’avère que cette dernière est plutôt bien dosée, avec un challenge existant mais pas non plus insurmontable, même pour un joueur pas habitué au genre. Seuls quelques passages sont un peu plus ardus, en particulier les combats de boss, mais au bout de plusieurs essais et avec un peu de patience on finit par en venir à bout. Par contre, niveau durée de vie, force est de constater que l’aventure est plutôt courte, avec seulement une dizaine de niveaux avant d’arriver au dénouement de l’histoire, là où des FPS concurrents en proposent bien plus. Une aventure de qualité certes, mais qui ne dure pas tant qu’elle devrait durer, et c’est bien dommage. Dernier point important, il n’est surprenamment pas possible d’effectuer une sauvegarde manuelle en jeu et de charger cette dernière quand bon nous semble.
Le jeu sauvegarde automatiquement notre progression à chaque fin de niveau, et au cours des quelques checkpoints rencontrés au sein de ces derniers, mais l’on ne peut pas décider soi-même des points de réapparition, les sauvegardes manuelles nous transportant au dernier point de contrôle, et non au moment de la sauvegarde. Un choix étrange qui peut s’avérer handicapant lors des passages plus compliqués où une mort implique donc de refaire à chaque fois tout un pan du niveau.

Fidèle adaptation de la bande-dessinée éponyme, XIII le jeu-vidéo est dans son ensemble un FPS solide et agréable, qui retrace avec des graphismes tout en dessins une histoire captivante d’espionnage et de conspiration dans les États-Unis modernes. Si cette histoire doit tout à son œuvre originale, force est de constater que l’adaptation est plutôt réussie, et qu’il n’est pas désagréable d’incarner Numéro XIII dans sa quête d’identité et de sauvegarde de la démocratie. Avec une ambiance sombre, un scénario prenant, une identité visuelle très marquée, des musiques et des doublages de très bonne facture, des niveaux variés, des variations de gameplay et des armes diverses à utiliser, XIII a tous les éléments pour s’imposer comme une référence du genre des FPS d’espionnage.
Quelques avaries viennent toutefois légèrement troubler l’expérience, comme des gadgets sous-exploités, une aventure très linéaire qui ne propose une re-jouabilité que très limitée, une aventure plutôt courte avec seulement une dizaine de niveaux, et surtout un système de sauvegardes frustrant et archaïque. Malgré ses quelques défauts, XIII reste cependant un titre très solide que tous les fans d’espionnage ou de bande-dessinée francophone se doivent d’essayer un jour, ne serait-ce que pour incarner Numéro XIII dans ce polar captivant et menaçant. Éloges méritées donc pour ce titre qui n’a pas grand chose à envier aux plus grands de son genre.
Malheureusement, si XIII propose un scénario si intéressant, seuls les cinq premiers tomes de la bande-dessinée ont été adaptés sur petit écran, le jeu se terminant de plus sur un cliffhanger qu’aucune suite ne viendra résoudre, laissant à l’œuvre globale un goût d’inachevé. Si un remake a vu le jour dix-sept ans plus tard, la piètre qualité de ce dernier ne laisse présager rien de bon quant à l’éventuelle possibilité de voir cette histoire achevée un jour en jeu-vidéo, il faudra donc encore se contenter de lire la bande-dessinée afin de connaître le fin mot de l’histoire.

Au cours de cette aventure, Jason Fly va rencontrer et affronter différents membres de la Conspiration des XX, organisation secrète qui a assassiné le président des États-Unis William Sheridan, et qui cherche à renverser la démocratie pour instaurer une dictature militaire à la place. Comme le jeu a été prévu pour avoir une suite, tous les membres ne sont pas représentés dans cette adaptation vidéoludique, voici donc un portrait de tous ceux que XIII va rencontrer et devoir affronter dans son périple pour sauver la démocratie.
- Docteur Johansson (Numéro XX) : Psychiatre et directeur de l’asile pénitentiaire de Plain Rock où Fly se retrouve interné après sa capture, le docteur Johansson est en réalité un boucher qui torture, séquestre et élimine différentes cibles au profit de la conspiration. À la tête d’un asile de fous, il est lui-même psychopathe, torturant les patients à mort pour le plaisir ou enfermant une infirmière avec un détenu pour que ce dernier abuse sexuellement d’elle. Il est tué par Fly au cours de son évasion (premier combat de boss).
- Colonel Seymour MacCall (Numéro XI) : Vétéran de la Guerre du Golfe, ce militaire zélé est chargé du recrutement et de la formation des SPADS, les forces armées paramilitaires qui vont servir à la Conspiration pour réaliser leur coup d’état. Il est également chargé de fournir cette dernière en armes volées au gouvernement, armes que XIII va s’efforcer à détruire. Il est lui aussi tué par Fly lors de sa fuite du camp militaire dans la jungle (deuxième combat de boss).
- Contre-amiral Franklin Edelbright (Numéro VII) : Commandant d’un sous-marin nucléaire, ce dernier utilise son bâtiment pour faire transiter les armes volées vers les dépôts de la Conspiration. Également tué par XIII lorsque l’infiltration de ce dernier dans le sous-marin échoue (troisième combat de boss).
- Jasper Winslow (Numéro IX) : Banquier, il possède la banque Winslow où XIII découvre sa mallette au début de l’aventure. Trésorier de la Conspiration, c’est également lui qui est chargé de lui trouver des soutiens financiers et idéologiques parmi les personnalités du pays. Il est tué avec Willard par XIII lorsque ce dernier tente de récupérer la liste des conspirateurs dans un hôtel à New-York (quatrième combat de boss).
- Sénateur Clayton Willard (Numéro V) : Il est le propriétaire du Sanctuaire, l’abbaye côtière utilisée par la Conspiration à titre de quartier-général. Il est tué par XIII quelques instants après Winslow dans l’hôtel new-yorkais (cinquième combat de boss).
- Général William Standwell (Numéro III) : Général, c’est par lui que les informations remontent au Numéro I, et c’est également lui qui a fait interner le général Carrington à Emerald Base dans les montagnes Appalaches, afin que l’enquête de ce dernier ne compromette pas les plans de la Conspiration. Il est tué par Fly dans la base militaire SSH1 juste après la tentative d’enlèvement du nouveau président des États-Unis, le républicain Robert Galbrain (sixième combat de boss).
- Calvin Wax (Numéro II) : Conseiller du président Galbrain. Voyant que Fly est sur le point de découvrir l’identité de Numéro I, Wax active l’autodestruction de la base SSH1 avant de se suicider, et ce afin d’emporter Fly avec lui et de protéger la Conspiration.
- La Mangouste : Tueur à gages embauché par la Conspiration pour éliminer Steve Rowland après l’assassinat du président Sheridan, ce dernier s’en prend ensuite à Fly, confondant les deux hommes, et pensant que Rowland est toujours en vie. Il est tué (ou pas ?) par Fly dans la base SSH1 (septième et dernier combat de boss).
- Sénateur Walter Sheridan (Numéro I) : Frère du défunt président William Sheridan, il brigue la présidence des États-Unis sous la bannière démocrate afin de poursuivre l’œuvre de son frère. Il est en réalité le commanditaire du meurtre de ce dernier, et le chef de la Conspiration des XX qui cherche à renverser la démocratie pour instaurer une dictature militaire à la place. Sauvé par Fly dans la base SSH1, sans que ce dernier ne se doute de son double-jeu, il accède finalement à la présidence par les urnes avant de capturer Fly après que ce dernier l’a démasqué. Ce cliffhanger marque la fin du jeu, et l’on ignore ce qu’il se passe ensuite.

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